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      • 랭보의 1872년도 자유 운문 시 연구(4) : 『인내의 축제』에 대한 주해

        한대균 청주대학교 인문과학연구소 2021 人文科學論集 Vol.62 No.-

        L'un des vers libres composés en mai et juin 1872, Fêtes de la Patience comprend les quatres poèmes, “Bannières de Mai”, “Chanson de la plus haute tour”, “L'Éternité” et “Âge d'or”. “La patience” est de regarder en face, sans les renier, l'illusion sur le destin à venir et les fautes de vie qui en résultent. Et les “fêtes” qui signifie ces quatres poèmes montrent la vanité d'une telle existence. Notre étude a pour but d'analyser cette vanité rimbaldienne, ce qui caractérise la vie de Rimbaud et sa création poétique à Paris en 1872. Dans “Bannières de Mai” le poète souhaite que cette infortune soit libre, et dans “Âge d'or” il écrit, “Vis et laisse au feu / L'obscure infortune”. Rimbaud ressent d'une manière décisive au point de renier l'an prochain son écriture poétique ce sentiment de désespoir, de déception et donc de malheur. Il n'en reste pas moins vrai que Rimbaud se dit de vivre et de laisser au feu cette infortune et qu'il croit avoir retrouvé “l'éternité”, mot poétique crucial avec “l'infortune”. Il est encore poète, qui va disparaître sous le soleil brûlant après avoir jeté tous les mots comme l'obscure infortune, et vivre “la liberté libre”.

      • KCI등재

        에메 세제르(Aimé Césaire)와 1960년대 퀘벡문학

        한대균 한국프랑스학회 2017 한국프랑스학논집 Vol.97 No.-

        Dans son Discours sur le colonialisme, Aimé Césaire écrit, “la civilisation dite ‘européenne’, la civilisation ‘occidentale’, telle que l’ont façonnée deux siècles de régime bourgeois, (...) est incapable de résoudre (...) le problème du prolétariat et le problème colonial”. Cette constatation influence beaucoup sur les poètes québécois, tels que Gaston Miron et Paul Chamberland. Ce sont ceux qui écrivent dans les revues Libérté et Parti pris pour la décolonisation du Québec à travers leurs paroles à la fois poétiques et politiques comme lyriques et épiques. En 1955, la lecture d’Aimé Césaire confirme à Gaston Miron dans son écriture de postcolonialisme, et il commene à parler de ce “grand poète noir”(que Jean-Paul Sartre appelle Césaire) à partir de 1958 dans les lettres à Claude Haeffely. Là, il dit, “Aimé Césaire accepte d’ê̂tre un noir jusqu’aux os, accepte ses atavismes, etc. afin de retrouver ses sources primitives, inaliénables”. Tous les poèmes qu’il va publier par la suite dans la revue Liberté des années 1960 renferment justement ces déterminations mironniennes : “J’accepte tout ce que je suis, ce qu’on m’a fait, parce qu’autrement c’est me détruire”. Miron va ainsi par son écriture se reconstruire et rapailler l’homme québécois, dominé et aliéné, pour en faire “tout l’homme, qui en exprime toutes les interrogations, toutes les angoisses, tous les espoirs”. La revue Parti pris déclare dès le premier numéro que la parole doit servir aux québécois ou aux écrivains québécois, (non pas écrivants) de “créer une vérité qui atteigne et transforme à la fois la réalité de [leur] société”. L’un des fondateurs de cette revue, Paul Chamberland, fort influencé par le Cahier d’un retour au pays natal de Césaire lui dédie son poème “Méridien de la colère”. Il écrit, après la lecture de la Culture et colonisation de Césaire qui a été reproduite dans un numéro de Liberté en janvier 1963, un article intitulé “Aliénation culturelle et révolution nationale” dans Parti pris en novembre 1963. Pour lui, retourner au pays natal c’est retourner à l’homme réel, au pays réel, et il lui faut prendre conscience que sa culture soit en état d’aliénation. Les écrivains québécois dans les années 1960 devaient donc produire de leurs propres façons “l’accent noir” d’Aimé Césaire qui parle pour les colonisateurs, “pour vous qui un matin entasserez dans votre besace mes mots et prendrez à l'heure où sommeillent les enfants de la peur, // l’oblique chemin des fuites et des monstres”.

      • KCI등재후보

        번역시의 운명 : 한-불 번역의 경우 le cas corieen-francais

        한대균 서울대학교 불어문화권연구소 2002 불어문화권연구 Vol.12 No.1

        Le traducteur commence la traduction de la poe´sie ㅇ문 l'enthousiasme a` l'e´gard du texte. Il ne faut pourtant pas que l´on perc¸oive sa subjectivite´ entre l'original et le texte traduit, mais qu'il l'abandonne pour accepter la conscience de l'atueur. Par example, Yves Bonnefoy a traduit le titre d'un poe´me de Yeats, Sailing to Byzantium par Byzance-l'autre rive. Ce poe`te-traducteur franc¸ais re`ussit ainsi a` e´viter le danger de la traduction mot-a`-mot, c'est-a´-dire la traduction du transcodage. Pour de´montrer cette ne´cessite´de l'effacement du traducteur nous avons analyse´ trois proble´mes que le traducteur pourrait rencontrer dans sa traduction, notamment dans la traduction franc¸aise de la poe´sie core´ene. Nous allons parler, en premier lieu, de la traduction de la poe´sie qui s'appuie sur la connaissace intuitive de la langue maternelle : un poe´me de Jung Jin-Gyu dont le premier vers pourrait e^tre traduit de fac¸on litte´rale "nous ne pouvons pas arriver jusqu'a´ nous". Ce vers, qui n'est pas en accord avec l'usage franc¸ais, est loin d'e^tre un bon vers franc¸ais. Il faut donc penser a´ la notion d'e´quivalence et examiner le sens du vers original. A partir de la´, nous pouvons proposer cette traduction ; "nous ne savons pas le chemin / par ou´ nous pourrions nous connai^tre". Celle-ci est explicative et de´nue´e de tension poe´tique, mais le vers devient compre´hensible aux lecteurs franc¸ais. Deuxie`mement, il faut prendre en compte la traduction du discours. C'est un concept diffe´rent de la traduction, dans laquelle la langue est a` transcoder en respectant les re`gles grammaticales. Ici, nous avons analyse´ les poe`mes de Song Chan-Ho et de Ko Un. Par example, a` la place de "devant l'e´toile filante qui passe rapidement" nous pourrions proposer d'enlever le mot "rapidement", car c'est une e´vidence (l'e´toile filante des mots e´le´ments de la langue d'origine et modifier la formulation dans la langue d'arrive´e. Troisie`mement la traduction comme acte d'une cre´ation litte´raire. Pour que l'acte de traduire soit conside´re´ comme selui de cre´er un texte, le traducteur doit re´fle´chir sur le langage poe´tique en la polyvalence des signes du texte. Me^me s'il n'existe pas d'e´quivalent exact d'un mot dans la langue d'arrive´e, le traducteur se voit force´ de privile´gier une des notions possibles : il doit prendre l'habitude de s'attacher au sens de l'e´nonce´ ou a` ses me´taphores. Comment traduire le "spleen" baudelairien et la "mauvaisete´" de Rimbaud ? Bonnefoy de´finit ces mots par ce qui appartient aux mondes impe´ne´trables. Face a` cette difficulte´ de la traduction, le traducteur est appele´ a` e´couter l'auteur "jusqu'au moment ou` il pourrait le devancer dans toute son e´criture". Il ne faut pas le refle´ter, car la traduction n'est pas une copie, ni une technique, mais il cre´er un autre texte en niant la pre´sence du poe´me traduit.

      • 윤동주와 에메 세제르 : 프랑스어권의 탈식민화 담론을 통하여

        한대균 청주대학교 인문과학연구소 2022 人文科學論集 Vol.64 No.-

        Cette étude a pour but de témoigner de la poésie engagée de Yoon Dong-Ju et de constater que le poète est écrivain décolonisateur à travers son engagement lyrique. Pour ce faire, nous lisons les quelques phrases citées par Yoon Dong-Ju, extraites du texte de Waldo Frank, prononcé au Congrès international des écrivains qui a eu lieu à Paris en 1935. Ce congrès est l'événement crucial pour les écrivains colonisés, dans la mesure où son thème est Pour la défense de la culture. Yoon Dong-Ju ayant connu ainsi cet événement international contre le fascisme qui était alors à l'apogée de sa puissance, on devrait comprendre ses poèmes dans ce contexte de l'émancipation, à la lumière du discours de la décolonisation francophones tels qu'Aimé Césaire et Frantz Fanon. Il nous faudrait en conclure que sa poésie vise à l'utopie par les mots de l'engagement lyrique, utopie qui n'est pas autre que l'émancipation de son pays.

      • 랭보(A. Rimbaud)의 초기시에 나타난 〈여성〉

        한대균 청주대학교 인문과학연구소 2000 人文科學論集 Vol.20 No.-

        La "Femme" se trouve une poe´tique dans les poe`mes e´crits en 1870 et 1871, que nous appelons ici "premie`res oeuvres". Ophe´lie est inspire´ a` la fois par la trage´die de Shakespeare et par un tableau de Millais, mais Rimbaud y esquisse un nouvel avenir de la poe´sie en faisant revivre cette fille folle et tragique. Et il nie fortement le mythe concernant Ve´nus et bouleverse le concept sur la beaute´ de cette de´esse dans Ve´nus anadyome`ne. De la`, il refuse la poe´sie sentimentale, c´est-a`-dire celle subjective, encadre´e dans lesparoles closes. A partir des poe`mes de 1871 ou` e´clate la Commune de Paris, le poe`te met l'accentsur l'engagement de la poe´sie. Ainsi Les mains de Jeanne-Marie deviennent celles sacre´es se trouvant au-dela` de la classe bourgeoise. Ici, Rimbaud parle, comme il l'e´crit dans la lettre dite du Voyant, que la femme est poe`te et voyante(sorcie`re de Michelet ou He´bal hante´e de la vision mystique). I1 vise donc la poe´sie objective. Dans les poe`mes en prose comme les Illuminations, la femme devient un etre "in-corporel" pour e^tre la poe´sie me^me. Rimbaud prolonge ainsi la "Modernite´” de Baudelaire, ce qui ne cesse de re´sonner dans la litte´rature de notre sie`cle.

      • KCI등재후보

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