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        문화적 정체성, 글쓰기의 정체성

        임수현(LIM, Soo-Hyun) 프랑스학회 2009 프랑스학연구 Vol.47 No.-

        Samuel Beckett est considéré comme un écrivain qui nous a montré “une quête du soi” rigoureuse et exceptionnelle dans tous les domaines de son écriture, et aussi dans sa propre vie. En tant qu'un irlandais, qui a vécu une période de guerre civile causée par la relation conflictuelle anglo-irlandaise, il a été fort sensible au problème de l'identité. Au moment de la formation de sa personnalité et de sa vocation d'écrivain, c'est-à-dire dans les années trente, il semble que Beckett trouvait la tradition irlandaise “étouffante et insupportable”. Comme on peut le remarquer dans les premiers textes beckettiens, il essaye de rejeter tous les héritages autoritaires de son pays, pour se diriger vers un territoire confus, obscur et désespéré, mais libéré de toutes les contraintes. Beckett souffre aussi de mésentente avec sa mère, “May Beckett”, qui exige à son fils les valeurs traditionnelles et religieuses. Comme l'est son setiment vis-à-vis de l'Irlande, Beckett est partagé entre les deux désirs contradictiores, à savoir entre son éternel retour à sa mère et sa fuite de toutes les exigences maternelles. Cette conscience excessive pour la mère, amour et haine confondus, pourrait expliquer par le désir essentiel de retourner à l'origine, et de retrouver une identité harmonieuse. Face à cette impasse, Beckett trouve, durant son séjour à Paris, sa conviction littéraire sous l'influence de James Joyce. Ils sont tous les deux exilés irlandais à Paris, et ils ont le même sentiment ambivalent d'amertume et de nostalgie pour leur pays. Et ils partagent les mêmes goûts littéraires, à savoir leur faveur à propos de nouveaux modes d'expressions et de nouvelles formes artistiques. Mais Beckett essaye encore de trouver son propre chemin, sa propre mode d'écriture. Entre Dublin stérile et Paris dévorant, entre la mère possessive et un Joyce écrasant, Beckett a besoin d'un refugre, lieu neutre, où il pourrait prendre de recul pour s'objectiver. En ce sens, on peut dire que Londres a joué un rôle dans la vie de Beckett, plus qu'un exil transitoire. C'est à Londres qu'il s'intéresse avec passion à la psychanalyse, et surtout qu'il parvient à affronter soi-même, avec l'aide d'un psychanalyste, Wilfred Bion. Après ces expériences, Beckett finit par accepter que “l'obscurité que je m'étais toujours acharné à refouler” était en réalité la source même de son inspiration artistique. Cette recherche de l'identité va encore plus loin, d'autant plus que Beckett écrit ses textes en deux langues, anglais et français, et qu'il les trauduit lui-même d'une langue à l'autre. Ainsi, Beckett serait le seul écrivain qui pratiquait le bilinguisme dans toutes ses possibilités, et qui le considérait non seulement comme “projet” esthétique mais aussi comme choix existentiel. Cette écritre en(tre) deux et cette manière singulière d'auto-traduction seraient l'aspect le plus manifeste et le plus concret qui nous montre à quel point Beckett s'acharne au problème de l'identité de l'être et de l'écriture. Mais si l'auteur oscille sans cesse entre les deux langues, c'est que, parincipalement, il reconnaît bien les limites propres du langage, à savoir, l'inefficacité et l'impuissance expressives de celui-ci, qui sont d'ailleurs irrévocables. Par conséquent, la réalité intérieure n'appartient ni

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        『동반자 Compagnie』와 베케트 후기 문학의 쟁점들

        임수현 ( Lim Soo Hyun ) 한국프랑스어문교육학회 2016 프랑스어문교육 Vol.53 No.-

        Compagnie est un texte, à notre avis, dans lequel sont réunis tous les aspects essentiels de derniers récits de l'auteur : l'absence du « je », la dominance des effets sonores et corporels des mots sur les contenus, un imaginaire d'un « imaginant » qui s'imagine, une voix qui s'écoute en train de se taire, enfin, une écriture qui ne parle que d'elle-même. « Une voix parvient à quelqu'un dans le noir. Imaginer », tel est le début de Compagnie, qui résume déjà la situation problématique du sujet de l'écriture : premièrement, il y a une voix anonyme, qui vient de nulle part ; deuxièmement, « quelqu'un », une présence corporelle et muette que rejoindra la voix, et qui deviendra « l'Entendeur » ; finalement, un autre, supposé d'imaginer tout cela, qui parlera sous le pronom de « il ». Dans cet univers imaginaire, le « je » est devenu un pronom impossible, car la première personne n'existe que quand ces trois figures hétérogènes - l'Entendeur, l'Inventeur et la Voix - coïncideraient parfaitement. Intervient alors une quatrième figure, une sorte de méta-narrateur qui ne se montre jamais derrière tous ces pronoms, pour mieux constater le décentrement multidimensionnel du sujet. Le « je » étant ainsi mis en abîme, des questions s'imposent inévitablement, concernant le locuteur et l'interlocuteur : à qui et de qui parle la voix ? « tu » ou « il » ? ou encore, s'agirait-il d' « une communication destinée à un autre » ? « Qui demande en fin de compte, Qui demande ? » Quelle que soit la réponse, et quel que soit le nombre des figures repérables, c'est toujours la même conséquence qui s'affirme : « Nulle part à trouver. Nulle part à chercher. L'impensable ultime. Innommable. Toute dernière personne. Je. » Face à ce manque fatal, chacun de ces éléments fragmentaires a besoin d'un autre pour se manifester. On comprend donc mieux le titre du texte, Compagnie, qui est aussi l'essence même de cette écriture. S'imaginer, s'écouter, se dire, pour se tenir compagnie et pour continuer à se manifester, bien que l'autre de soi-même en surgisse comme mal vu et mal dit : tels seront donc des enjeux littéraires qui restent et qui s'imposent dans les derniers récits beckettiens, où le « je » devient une place vide. Si l'écriture de Beckett recommence là, où tout est en train de s'épuiser et s'empirer, ce serait que, comme l'a remarqué Wessler, “La littérature est un espace, le seul, où peut advenir l'identité de ce sujet, et, plus précisément, son identité comme écrivain”.

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        전통 소설의 죽음과 새로운 글쓰기의 시작 - 베케트의 『말론 죽다 Malone Meurt』 연구

        임수현 ( Lim Soo Hyun ) 한국프랑스어문교육학회 2021 프랑스어문교육 Vol.74 No.-

        본 연구는 사뮈엘 베케트의 소설 『말론 죽다』를 구축하는 글쓰기의 양상들을 통해 이 작품이 작가의 문학 세계에서 차지하고 있는 위치와 그 의미에 대해 분석하는 것을 목적으로 한다. 베케트의 창작 행위가 절정에 이른 시기에 탄생된 ‘소설 3부작’ 중 두 번째에 해당하는 이 작품은, 그 시작이 되었던 『몰로이』와 마찬가지로 작가의 본격적인 1인칭 소설이며 전작의 시도들을 더욱 밀고 나가 사실상 전통적 소설과의 단절을 예고한다. 작품의 제목에서 드러나는 ‘말론의 죽음’은 곧 이름을 지닌 인물의 죽음이며, 또한 1인칭의 소멸에 다름 아니다. 그러나 베케트는 『말론 죽다』를 통해 기존의 완결된 이야기가 아닌, 작가와 화자와 인물이 뒤섞이며 현재 진행형으로 만들어져 가는 ‘과정의 글쓰기’를 제시한다. 누구나 말하는 주체가 될 수 있지만 누구도 자신의 정체성을 확신할 수 없는 이 글쓰기의 막다른 골목에서, 베케트의 작업은 새로운 표현의 가능성을 찾고 다시 시작된다. 말론은 죽고 인물은 이름을 잃어버리겠지만, 베케트의 글쓰기는 ‘이름 붙일 수 없는 자’에 의해 계속 이어질 것이기 때문이다. 『말론 죽다』는 결국 베케트의 작업이 거쳐가야 할 필연적인 과정이었으며, 이를 통해 작가는 글쓰기의 불가능성 자체를 대상과 동력으로 삼는 독창적인 문학 세계를 구축하게 된다. Cette étude a pour objectif d'analyser les aspects spécifiques du roman Malone meurt de Samuel Beckett, et d'expliquer l'importance de ce livre dans l'univers beckettien. Etant le deuxième volet d'une “trilogie romanesque” de l'auteur, né pendant sa période “frénétique” de l'écriture, Malone meurt s'inscrit dans une prolongation des essais littéraires que l'auteur avait faits dans Molloy, afin d'annoncer la rupture définitive avec le roman traditionnel. Comme le suggère le titre, la mort de Malone n'est peut être que celle du personnage, et signifierait ainsi la disparition du personnage pricipal. Mais, ce faisant, Beckett nous montre un récit “en progrès”, qui ne reflète plus une histoire close et fermée, mais qui évolue dans la coexistence entre le personnage et le narrateur, et même, l'auteur. Au moyen d'une écriture dans laquelle chaque protagoniste peut se prétendre sujet parlant sans pour autant affirmer sa propre identité, Beckett recommence son travail en envisageant de nouvelle formes d'expression. Malone meurt certainement, et le personnage perd son nom, mais cet être “innommable” constitue le seul instrument à travers lequel l'écriture beckettienne peut subsister. Enfin, Malone meurt est une étape inévitable pour l'écrivain Beckett dans la construction d'un univers original prenant comme objet l'impossibilité même de l'écriture.

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