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        위스망스의 『거꾸로A Rebours』에 서술된 런던 여행

        유진현(RYU Jinhyun) 프랑스학회 2010 프랑스학연구 Vol.52 No.-

        Cette étude a pour objectif d’anaJyser le voyage à Londres raconté dans le ll e chapitre d’A Rebours de Joris- Karl Huysmans. Plus précisément, nous avons essayé d’y comprendre la signification et la fonction de cet épisode de la sortie hors de la malsonnette à Fontenay par rapport à l’ensemble du roman qui consiste à raconter la réclusion volontaire de Des Esseintes, le personnage principal. lntrigué par la fatigue moraJe et l' éreintement physique ressentis par le héros après son voyage interrompu à Paris, nous avons voulu examiner la continuité entre sa vie ‘à rebours’ et son voyage imaginaire basé sur des illusions de la vie anglalse. Avant d’anaJyser l’anecdote du voyage à Londres, nous avons élucidé la notion spécifique de voyage chez des Esseintes qui a choisi la solitude absolue en rupture avec la société. Nous avons pu constater que le voyage conçu par lui comporte des caractéristiques, telles que l’ irréali té, la retrospectivité, l'activité purement imaginaire, la substitution de la réalité par des illusions etc. EgaJement, nous avons pu remarquer que, pour effectuer un voyage, le héros du roman s' appuie sur des éléments favorisant la création des illusions ’espace adapté, des choses évocatrices, la stimulation des sens, la perception du milieu environnant et la réflexion sur les oeuηes d'art La raison pour laquelle des Esseintes est amené à sortir de son paradis artificiel semble résider en la toxicité de sa réclusion à la fois autonome et autosuffisante, c' est- à- dire en l’excès de l' artificialité et de la cérébralité. C’est amsi qu'il quitte Fontenay au moment où la cérébralité de ses tentatives aLteigne son paroxysme. Conçu comme une sorte de cure de réel, son voyage est composé de quatre scènes selon l’espace où il se trouve : le paysage parislen sous la pluie, la Iibrairie Galignani' s Messenger, la Bodéga, la taveme anglaise. Ce qui nous paraît intéressant, c' est que, dans chaque étape, le voyageur procède à des stratégies clifférentes pour susciter des illusions de voyage. Il recourt repectivement à la perception des conditions climatiques, à l’évocation d'un musée imaginaire exposant des tableaux des peintres anglais, à la remémorisation des textes Iittéraires de Dickens et de Poe et, enfin, à la métamorphose physique utilisant le besoin corporel. Par une combinaison adroite et astucieuse de ces stratégies, il réussit à accéder à la quintessence de la vie anglaise qui peut etre appelée “ l' anglaiseté" ou “la britanicité" . ce qui lui permet d’interrompre son voyage en plein coeur de Paris. Bien qu' il paraisse de prime abord une tentative contradictoire avec les principes de sa réclusion volontaire, ce voyage avorté n’en aboutit pas moins à les consolider à plusieurs egards. D' abord, il a la valeur d’un choc revitalisant le contact avec le réel pemlet à des Esseintes de remédier l ’ exces de l ’ artificialité et de se recharger en énergie nécessaire pour continuer sa vie experimentale. Ensuite, ce voyage constitue une occasion où il fait une experience, à grandeur nature, de ses théories d' illusions susceptibles de remplacer la realité. Finalement, son voyage interrompu au moment du départ pour l’Angleterre semble ironiser la notion de voyage modeme et faire un pied de

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        피항지에서의 꿈 이야기 분석 : 공간의 메타포어를 중심으로

        유진현(RYU Jinhyun) 프랑스학회 2010 프랑스학연구 Vol.54 No.-

        Une des specificit?s d'En Racle de Joris- Karl Huysmans est la pr?sence des trois r?ves introcluits dans I’histoire du personnage principal Jacques Marles. Reconnus comme une nouveaut? par I’auteur Iui-m?me, ces r?ves constituent I'un des centres d’int?r?t de ce roman sous- estim? longtemps comme un signe d’hesitation entre la tradition naturaliste et une nouvelle forme litt?raire. Dans cette ?tude, nous avons essay? d’anaJyser les r?cits de r?ve de JacQues Marles en nous int?ressant aux m?taphores des espaces d?crits dans chacun des r?ves. En poursuivant notre anaJyse, nous avons pu constater Que les trois r?ves portent sur les divers aspects du m?nage compos? de Jacques et de Louise Dans le premier, le paJais d’Assu?rus nous fait d?couvrir les lirnites de la vie en couple en remontant le temps vers le pass? , construit avec des mat?riaux min?raux, ce lieu du premier rapport sexuel armonce la sterilit? de ce m?nage en difficult? en raison de la maJadie de la femme et de I' incompr?hension r?ciproque des ?poux. Le deuxi?me r?ve, celui du monde lunaire, est en QuelQue sorte un voyage dans la matrice de Louise , ce r?ve montre Que cette matrice devient un espace p?trifie au lieu de devenir la source de la vie et qu'elle fait I'objet d'une mise ? mort imrninente. Sur le plan temporel, ce deuxi?me r?ve am?ne le couple de Jacques et Louise vers le futur et il fait voir au premier la cons?Quence n?faste de la maladie de cette derrri?re. Enfin, le derrrier r?ve conduit Jacques au clocher de Saint Sulpice qui n'est rien d'autre que le symbole de la virilit? refoul?e ; dans ce r?ve, Jacques en anive ? comprendre l'?tat actuel de son probl?me de sexualit? ; il constate de ses propres yeux la cause de son refoulement et la terrible v?rite de sa vie conjugale qui I' oblige ? se r?signer ? I’impuissance sexuelle. Analys?s de cette mani?re, les r?cits de ces trois r?ves nous paraissent avoir comme fonction de r?v?ler au perrsonnage ainsi qu'au lecteur les facettes cach?es de la vie diume racont?e dans le roman. Us permettent d'apercevoir la conjugalit? mise en difficulte depuis sa source ? ’avenir en passant par le pr?sent. A vec cette valeur heuristique, on ne pourra pas, bien ?videmrnent, pr?tendre expliquer exhaustivement I’ensemble des r?les et des significations des r?ves d’En Rade. Cependant, elle pennettra de comprendre un des aspects pr?pond?rants de ce roman qui reste toujours un texte ?nigmatique avec ses ?tranget?s irr?solues. Egalement, elle nous conduira ?mieux comprendre la modernit? de Huysmans.

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        위스망스의 『저 아래로Là-bas』에 나타난 유심론적 자연주의와“기이한 사람들”

        유진현 ( Ryu Jinhyun ) 한국프랑스어문교육학회 2018 프랑스어문교육 Vol.60 No.-

        Là-bas de Joris Karl Huysmans marque une rupture tant dans sa carrière d'écrivain que dans l'histoire du roman français. En rejetant la tradition du roman réaliste et naturaliste du XIX<sup>e</sup> siècle, il propose une altérnative appelée « le naturalisme spiritualiste » consistant à montrer que le corps et l'âme sont plus ou moins soudés ou confondus. Dans cette étude, nous nous proposons de comprendre comment cet idéal du naturalisme spiritualiste se concrétise dans ce roman en fonction de la dualité, voire de la multiplicité des personnages. Peintre à la fois le plus réaliste et le plus idéaliste, Mathias Grünewald constitue un parfait archétype des « singulières gens », terme utilisé par Huysmans pour désigner les personnages caractérisés par leur dualisme. L'analyse de l'histoire de Gilles de Rais insérée dans le roman et de celle de Madame Chantelouve permet d'apercevoir que l'intérêt de ces personnages réside en leur personnalité ambiguë composée au moins trois parties distinctes. En dépit de leur différence évidente, ils font partie de la catégorie de personnage supranaturaliste en ce qu'ils ont un point commun d'avoir une identité incertaine et changeante. L'exemple de ces trois personnages conçus par le même principe permettra de mieux comprendre ce qu'entend Huysmans par le mot d'« exceptions rares » quand il répond à Jules Huret à propos de l'avenir du genre romanesque après le naturalisme. En fait, ce sont des marginaux qui vivent à l'écart dans la société. C'est ainsi que, dans Là-bas, le personnage principal est entouré par des êtres ambigus, tels que le docteur dénigrant la science et le progrès, le sonneur de l'Eglise Saint-Sulpice, l'astrologue mystique etc. Cependant, ce qui les rend exceptionnels, c'est la dualité de leur être qui provoque l'étonnement par des aspects bizarres et extraordinaires. L'enjeu des singulières gens huymansiennes se révèle manifestement quand on les situe dans le contexte de l'évolution du roman. En raison de la présence de ces personnages bizarres, le roman naturaliste qui se focalise sur les relations entre les gens déterminés par le milieu est remplacé par l'étude de la complexité de l'être humain déchiré par les éléments antithétiques. Une démarche qui semble indiquer la sortie de l'impasse où se trouvait le naturalisme, lorsque Huysmans écrivait Là-bas.

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        데 제쎙트 - 비전형성의 전형

        유진현(RYU, Jinhyun) 프랑스학회 2015 프랑스학연구 Vol.71 No.-

        A Rebours de Jori s-Karl Huysmans constitue pour son auteur un moment décisif tant dan s la carrière de romancier que dans la vie. Si ce roman a pu sus citer à la fois des admir ations et des critiques chez ses lecteurs, c’est dû, en grande partie, à la singularité de des Esseintes qui se trouve au centr e du roma n. En proclamant l es théories artistiques origi nales et en s’opp osant à toutes les idées reçues, il devient un personn age problématique qui con duit le lecteur à s’i nterroger sur son ident ité. Pourtant, il paraî t que ce personnage biza rre ne pourra pas s’appeler ‘un typelittérai r e ’ util isé dans les romans r éalistes et naturalstes. Dans cette étude, nous avo ns essay é d’examiner les é léments qui rendent des Essei ntes un type atypique. C réé en fonction d e la notion du roman fon dée sur l’exception, il ne satisfait guère les condi tions requises pour deveni r un véritable type littéraire. Même si une série d’informations est donnée dans , chapitre zéro du roman, co ncernant son identité sociale , des Esseintes demeure toujours un flottant per sonnage qui fait échouer t oute tentative de le dé finir d’ une manière posit iviste. Au moment où le lec teur croit saisir s on être, il s’enferme dans s a maisonnette à Fontenay et de vient unhomme q u i n’exis te plus dans la r éalité. En plus, en reniant les références de la ré alité qu i sont la nature e t la société, il renforce en core son caractère atypique ; il tente de rempl acer la nature par l’artificiel ; il s’impose comme un princip e artistique le r efus de la promiscuité, pri ncipe qui lui perm et de re ster isolé à l’a bri de la menace de la socié té. Ainsi, des Esseintes constitue un individu bizarre qui est à l’opposé d’≪une synthèseori ginale réunissa nt organiqu ement l’universel et le particulier≫ et qui doit êtr e considé ré comme un type a typique. Cependant, ce perso nnage dépouvu de réal ité, voi re de vérité occ upe une place importante d ans l’histoire littérai re ; il e st en quelque sor te l’avant-coureur du roman du XXe siècle, qui s’interroge sur le rêve et l’i ncoscience, remplace le temps r éel par les souve nirs du pa ssé et rend obscure la frontière entre la réalité et la fantaisie ; il ann once un groupe de pesonn ages qui apparaitront dans les romans de Gide, Breton, Sartre, Camus, etc. En somme, on peut l’appeler un typelittérare ≪ à r e bours≫, puisqu’au lieu de représenter un groupe d’hommes, il fait appara ître ce groupe d’hommes qui le ressemblent.

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        海南 珍山里 窯場 出土 靑瓷의 現況과 特徵

        유진현(Ryu Jinhyun) 한국중세고고학회 2023 한국중세고고학 Vol.- No.14

        Jinsan-ri, Sani-myeon of the Haenam region was the site of multiple kilns that produced a variety of ceramics, including celadon, black-glazed earthenware, and porcelain, during the mid-Goryeo Dynasty. However, it was only in the early 1980s that the region first gained attention as a noteworthy production site of Goryeo ceramics, decades later than other regions, such as Gangjin and Buan. The interest in the celadon kilns in Jinsan-ri grew when a sunken Goryeo-era ship carrying a large shipment of low-grade celadon was salvaged from the seabed off Eodu-ri, Yaksan-myeon of Wando in 1984. In 1991, the first kiln site was excavated in Jinsan-ri, which was kiln site number 17, and revealed a medium-sized kiln built primarily with clay. Low-grade celadons made up the majority of the excavated artifacts from this site, along with earthenware and pottery tools. Some of the celadon ware were decorated using iron-based pigment, providing valuable examples for the research of Cheolhwa celadon (celadon painted with iron-based underglaze). However, despite the recognition that many celadon kilns had existed in the Sanyi-myeon area, few excavations have been conducted up to date. The National Cultural Heritage Research Institute excavated Jinsan-ri kiln site numbers 74 and 20 in 2018 and 2021, respectively, which unveiled valuable information on the celadon ware produced in this area. An examination of the two sites also revealed that the celadon kilns in this area had taken on different sizes and structures over the course of time and had used different tools as well. For instance, the celadon kilns in Jinsan-ri were initially small in size, with a length of about 10 meters, in the early Goryeo period, but by the mid-Goryeo period, they had adopted medium-sized kilns over 20 meters long for producing celadon. The quality of the vessels produced in these kilns had also changed over time, from producing relatively high-quality celadon ware to mass production of low-quality celadon. The celadon ware produced in Jinsan-ri during mid-Goryeo is judged to be cruder than the low-quality celadon produced elsewhere for several reasons. First, they were made of unrefined clay and glaze. Second, they were roughly molded and often poorly finished, and they were baked without a primary bisque firing process. Third, they were not placed in saggars (gapbal, firing boxes) for firing, but were mostly placed on clay supports (dochim or dojimi) and stacked in multiple layers. Furthermore, the celadon kilns of Jinsan-ri excavated to date characteristically lack the low wall (bulteok) built between the combustion chamber and the firing chamber to prevent the heat from the combustion chamber from directly touching the vessels and even out the temperature inside the kiln, which was a common feature of celadon kilns that had been in operation during the mid-Goryeo period. The kilns of Jinsan-ri, lacking this structure, could raise the temperature within the kiln more quickly, which enabled them accelerate their celadon production. In this sense, these kilns seem to have actively responded to the explosive demand for low-grade celadon ware after the mid-Goryeo period by simplifying the techniques and process for producing celadon.

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