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        프루스트와 망각의 형상들

        남수인 한국불어불문학회 2000 佛語佛文學硏究 Vol.41 No.1

        La Recherche e´tant fonde´e sur la me´moire, les souvenirs, il sera inte´ressant de lire ce livre a` partir de l'oubli vu qu'il n'y a pas de me´moire sans oubli. Nous examinerons la signification de l'oubli, son rapport avec les souvenirs, les formes dont il reve^t, ses effets. Dans la Fugitive, fugive d'abord, ensuite morte, Albertine est absente en personne dans le re´cit, mais elle y est pleinement pre´sente parce que le narrateur garde intense´ment sa me´moire, se souvient a` tout moment, dans toutes les circonstences des moments passe´s ensemble. Augmentant chez le narrateur le besoin de sa pre´sence re´elle du fait que me^me morte, Albertine exicite la jalousie, son absence devient la souffance dont la seule reme`de sera l'oubli. En fait l'oubli est un moyen de se conserver, de lutter contre le de´plaisir, contre l'insatisfaction qui de´truit l'homme. L'oubli se manifeste sous formes diverses avec des mobiles secrets : il y a des souvenirs refoule´s qui enfouis dans l'inconscient, influencent a` la vie ulte´rieure, a` la personnalite´ me^me. Ainsi "la sce`ne de Montjouvain" dont le souvenir dirige la tendresse du narrateur pour Albertine et sa jalousie, ainsi que le choix de l'objet d'amour(le narrateur n'aimant qu'un certain type de femmes capables de le faire souffrir comme Albertine). Par illusion, on peut oublier son ve´ritable gou^t. C'est ainsi qu'un jour frappe´ par la ressemblance d'Odette avec la figure de Ze´phora, Swann oublie qu'il n'aimait pas ce genre de visage, et tombe amoureux d'elle. Par inconside´ration, par inte´re^t, l'oubli peut venir. Pre´occupe´ des jeux avec les jeunes filles en fleurs le narrateur ne remarque pas la maladie de sa grand-me`re; Madame de Marsantes inte´resse´e a` la richesse de Gilberte ferme les yeux sur son origine. Gilberte nie son nom Swann, oublie son pe`re pour parvenir. L'oubli d'un amour, l'indiffe´rence peut venir avec un de´sir d'une autre personne. Albertine est oublie´e pendant que le narrateur s'enflamme d'une femme rencontre´e dans la rue. Amoureux d'une personne on devient indiffe´rent d'une autre. Enfin le temps est un autre nom de l'oubli; le temps effrite les souvenirs, les de´truit: on garde tre`s peu de souvenirs du passe´ lointain. L'oubli gue´rit de la souffrance du mal d'amour et libe`re l'esprit. L'esprit libre peut poursuivre des choses inte´ressantes comme e´crire, voyager, et pourquoi pas courir derrie`re les femmes qui inspirent du de´sir. Le retour des souvenirs oublie´s peut re´ve´ler la ve´rite´: Swann revoit dans la pense´e la pe´riode heureuse longtemps oublie´e, ressuscite´e avec la sonate de Vinteuil; sait maintenant que l'amour d'Odette pour lui ne renai^tra jamais. Enfin l'oubli pre´side l'e´volution du monde romanesque. L'oubli est pour ainsi dire le relais du re´cit. Il effectue le de´placement de l'espace romanesque, introduit de nouveaux e´ve´nements, me´lange des classes sociales. La Recherche commence dans la nuit. La nuit ne serait-elle pas une me´taphore de l'oubli, profondeur ou` sont endormis les souvenirs en attente de l'appel?

      • KCI등재

        샹송과 시 읽기

        남수인 한국프랑스어문교육학회 2009 프랑스어문교육 Vol.31 No.-

        On trouve de plus en plus des chansons et des poèmes dans des méthodes de français. En effet apprendre en chantant, en particulier une langue étangère, ici, le français, c'est amusant, donc, ça peut rendre l'apprentissage plus facile. Mais pour que ce soit vraiment efficace, il faut chanter, réciter une chanson, un poème après les avoir compris. Il est nécessaire de savoir lire (le sens), goûter le texte. En guise d'exemples, je propose une lecture de Quatre murs et un toit de Bénabar et d' Heureux qui, comme Ulysse... de Du Bellay. Ces deux textes chantent en commun la maison, mais différemment. Bénabar décrit la maison de sa naissance à l' abandon ou de sa création à la vente. C'est pour ainsi dire une histoire de la famille en général peinte en sept volets. Chaque volet montre une évolution, un changement apporté avec le temps dans la maison: 1 bâtir une maison; 2 naissance d'un enfant; 3 maintenant, trois: le grand veut être indépendant; 4 les enfants font un hôtel de la maison, puis ils sont partis; 5 sans enfants, "la maison sommnole comme un chat fatigué"; 6 l'apparition des petits-enfants qui rajeunissent la maison; 7 la maison qui est en vente n'est habitée que des fantômes. Bénabar raconte à peine la viellesse qu'apporte le temps chez l'homme, et il a raison puisque le sujet de sa chanson est la famille qu'abrite la maison. L'homme meurt dans le temps mais la famille qu'il a fondé se continue en se renouvelant et ce, par les enfants. Ce sont les enfants qui font la famille, et la famille et la maison, c'est le nid qui les élève en protégeant contre tous les vents. Ainsi la maison familiale est "la modeste terre promise" que regrettera un exilé, tel un Du Bellay. Du Bellay en séjour à Rome exprime la nostalgie de la maison familiale, du pays natale dans le sonnet Heureux qui, comme Ulysse... Le poème montre avec l'évocation des héros de la mythologie grecque que son auteur est un grand humaniste. A la différence de ces héros, Ulysse ou Jason qui ont connu la joie du retour après une longue expédition périeuse, le narrateur n'a pas la certitude de revenir un jour. Cette angoisse s'exprime à travers le style lyrique: phrases exclamative, interrogative et l'emploi de l'interjection. Du Bellay exprime surtout par la comparaison l'amour de la maison familiale : son petit village lui plaît bien plus que le grandiose Rome. La lecture du sens stimulera l'intérêt chez l'apprenant autant que la musicalité des vers et la mélodie d'une chanson.

      • 프루스트의 사물, 물건, 장소의 어떤 역할

        남수인 상명대학교 논문집 1990 상명대학교논문집 Vol.26 No.-

        Comment fonctionnent les objets familiers, les ve^tements, les lieux dans 「la Recherche」, en particulier dans la pre´sentification des personnages proustiens? Le he´ros proustien s 'attache aux objets "humains"-objets offerts par des amis, ou des objets qui e´voquent des histoires. Au niveau romanesque, un objct est faible en tant qu'un indice social, mais peut constituer une mise en relief du personnage. Et l 'objet relate l'espace qui lui a donne´ naissance, il est producteur de re^verie et de de´sir. Un pot de poisson ou une jarre de lait donnent a´ celles qui les portent un tel charme qu 'on a envie de les embrasser et de vivre avec elles. Les accessoires vestimentaires les plus communs assument e´galement cette fonction de styliser les personnages. Une cravate ou une coiffure remplace quelquefois l 'ensemble de la toilette d'une femme et me^me sa pre´sence effective. Chez les hommes, Proust observe volontiers le monocle. Les choses, les accessoires peuvent repre´senter seuls synecdoquement et me´tonymiquement la personne a` laquelle ils sont attache´s. Mais certains ne posse`dent pas en eux-me^mes une valeur totale et autonome. Leur valeur n'est pleine qu'en entrant en relation avec le contexte ambiant : le ve^tement et le site d'apparition des personnages. Une robe symbolise la personne. Et se ve^tir d'une toilette pluto^t que d'une autre n'est pas indiffe´rent tant pour la personne qui s'habille que pour celle qui la voit. Changer de ve^tement, cela signifie passer d'une personnalite´ a` une autre. Par ce pouvoir de transformation, le ve^tement fait re^ver, et cre´e. Quelque robe posse`de un langage bien particulier, et on peut en de´duire la nature de l'e^tre qui la porte. Ainsi la robe de chambre, qui appartient exclusivement a` la sultane et en laquelle Odette aime passer le temps libre a` la maison. Aussi une robe posse`de-t-elle un pouvoir de me´tamorphose, mais sous l'effet de l'ambiance, le site. L'individualite´ d'un lieu et la re´alite´ mate´rialise´e en lui s'affirment a` condition qu'une figure y soit suspendue dans son aspect primitif. Une figure a` son tour consolide son individualite´ en s'attachant a` un site. Et le lieu et le personnage s'e´changent leur charme et leur poe`sie respectifs. Le myste`re d'Albertine, le charme de Mme de Guermantes sont engendre´s en grande partie par les lieux dans lesquels elles sont vues et re^ve´es : la mer, les sources de la Vivonne auxquelles on ne va jamais remonter. Le lieu semble quelquefois dr e´ge´tiquement moyive´. Il "mate´rialise"pour ainsi dire une personne qui l'habite. Ainsi la chambre de Le´onie, le salon d'Odette. D'autre part le lieu en tant que de´cor se pre´sente comme un symbole : les fleurs, la femme pour objet de jouissance sensuelle ; la place, le casacte`re aventurier des homosexuels. On voit en outre un cas particulier qu'un lieu relate me´taphoriquement un drame : l'escalier qui relie la chambre a` coucher du "Je" et la salle a` manger ; et la chambre noire ou` "longtemps, je me suis couche´ de bonne heure". Les objets et les paysages contribuent grandement a` la constitution des personnages bien proustiens, c'est-a`-dire, qui oscillent entre le "caracte`re" et la "figure".

      • KCI등재

        게르망트가

        남수인 ( Sou In Nam ) 한국불어불문학회 1997 불어불문학연구 Vol.35 No.1

        Le co^te´ de Guermantes est une partie me´diane de la Recherche que Proust remanie et de´veloppe conside´rablement pendant la guerre(1914-1915). Et de ce fait cette partie accuiert plus d`importace par rapport au plan initial en trois volets(Swann, Guermentes, Le temps retrouve´). Au vrai, Guermantes est un nom ayant une vie la plus longue dans la Recherche. Il est la` du de´but a` la fin du roman. Pour le petit Marcel Guermantes est d`abord inse´parable de la le´gende raconte´e par la lampe magique : Genevie`ve de Bravant. Les Guermantes, cha^telains actuels du Cha^teau de Guermantes aux environs de Combray sont descendants de celle-ci et des comtes de Combray. Aussi Marcel imagine Guermantes comme lieu abstrait; les Guermantes comme des gens ire´els, en particulier la duchesse de Guermantes. Ce sentiment d`inaccessible s`accroi^t du fait qu` au cours de la promenade, la famille n`acce`de jamais jusqu`a` la source de la Vivonne ou` se trouve le Cha^teau. Marcel associt la duchesse de Guermantes a` son de´sir de devenir e´crivain: e´pris de lui elle lui demanderait le sujet de son live. Et Marcel connai^t l` impuissance et la de´tresse de ne pas trouver quelque grand sujet. Mais aussi, de cette promenade du co^te´ de Guermantes il ressent un plaisir particulier en voyant des choses naturelles (par exemple, un reflets de soleil sur une pierre), plaisir qui a` la fin du livre le conduit a` la re´ve´lation de la vraie vie: la litte´rature. A Paris habitant une aile de l`ho^tel de Guermantes, apercevant souvent le duc et la duchesse de Guermantes, Marcel se rend compte que Mme de Guermantes n`est pas une fe´e, non plus une suzeraine fe´odale mais une femme, une dame aristocratique. Les re^ves poetiques dont son imagination emplissait le nom de Guermantes disparaissent. Mais il continue d`imaginer qu`on me`nerait une vie myste´rieuse au Faubourg Saint-Germain et de´sire d`y participer. Lorsqu`il est devenu indiffe´rent de la duchesse, il est admis, invite´ au di^ner de la duchesse. C`est encore la de´ception: la personne de la duchesse et sa co^terie n`ont rien d`extraordinaire; ils ont des ide´es sottes tant sur le plan artistique que sur le plan intellectuel. Approche-t-on des personnes re^ve´es, elles s`e´vanouissent. Pourtant Marcel arrivea` prendre gou^t esthe´tique d`observer le Fauboug Saint-Germain. Ainsi les Guermantes sont trasforme´s en matie`re du roman. Aller dans le monde, c`est perdre le temps, surtout abandonner le travail. Marcel s`en rend compte mais il continue de se poster dans la rue pour voir passer la duchesse, il va me^me a` Doncie`re pour demander a` Saint-Loup de le lui pre´senter. S`il gaspille le temps du co^te´ de Guermantes, les encouragements en viennent aussi. Saint-Loup sollicite de travailler. La duchesse le traite comme un artiste. Charlus demande de ne pas aller dans le monde, surtout pas fre´quenter la duchesse et lui offre la protection. Marcel n`e´crit toujours pas. Mais au di^ner de la Guermante, il oublie l`heure devant un tableau d`Elstir. Il observe de´ja` le salon de Villeparisis ou le di^ner de la duchesse comme une sce`ne the´a^trale. A la fin, apre`s quelques anne´es de la clinique, en renonc¿ant de´finitivement d`e´crire il se rend a` la matine´e de la princesse Guermantes. La` le miracle se produit: Des plaisirs extraordinaires qu`il a connus jadis du co^te´ de Guermantes a` Combray se reproduisent. Et des visages ravage´s du temps lui enseigne le pouvoir de l`art. Il e´crira; la matie`re de son livre sera sa vie passe´e. Ainsi, le nom de Guermantes et les Guermantes est a` la origine de la Recherche.

      • 小說人物의 本質에 關하여

        南洙仁 상명대학교 논문집 1988 상명대학교논문집 Vol.22 No.-

        Le personnage e´tant un des e´le´ments principaux du roman, la conception du roman influence le personnage romanesque, et la manie`re de concevoir le personnage oriente l'e´tude du personnage ainsi que celle du roman. La notion du personnage e´volue dans l'histoire litte´raire: l'agent d'action dans la litte´rature ancienne, il devient une personne, est conside´re´ a priori comme homologue de l'e^tre humain dans la litte´rature dite re´aliste. Un nom propre apparu dans le roman est conc¸u immediatement comme un individu. On le traite comme on traiterait un homme dans la vie. L'analyse structurale re´pugne un tel traitement. Les structuralistes regardent le personnage comme un simple support de l'action: il n'est que le sujet du pre´dicat d'action. Certains nient me^me sa ne´cessite´ dans le re´cit. Cette vue excessive provient de leur conception litte´raire. L'oeuvre litte´raire est pour eux "un syste`me global de signe, une structure se´miotique au service d'un propos spe´cifiquement esthe´tique". Leur objet de recherche est le discours litte´raire et non pas une oeuvre litte´raire singulie`re. Et ils veulent de´crire "des lois ge´ne´rales qui pre´sident a` la naissance de chaque oeuvre". Bref constituer la grammaire narrative ou la narratologie. Ici, donc, la psychologie ne peut se tenir. Cependant il est difficile de re´duire le personnage a` l'agent d'action parce que le roman le pre´sente comme un individu habitant le monde fictif. Seulement, il existe verbalement. Il nai^t des unite´s de sens. A la diffe´rence de l'homme dote´ des mobiles d'action possibles, le personnage se construit dans le temps die´ge´tique. Un roman introduit une multitude de personnages. Tous ces personnages n'ont pas de rapports e´gaux vis-a`-vis du re´cit, de la die´ge`se(histoire relate´e par le re´cit). Le roman conside´re´ comme un e´nonce´ qui a pour but la communication, Hamon distingue les personnages en trois cate´gories: personnages-re´fe´rentiels, personnages embrayeurs, personnages-anaphores. Les personnages-re´fe´rentiels sont des personnages que le lecteur reconnai^t: par sa culture: personnages historiques on le´gendaires, etc. Un de leurs ro^les est d'assurer l'effet de re´el. Les personnages embrayeurs sont les marques de la pre´sence en texte de l'autuer, du lecteur, ou de leur de´le´que´s. An centre, le proble`me du he´ros. La troisie`me cate´gorie de personnages anaphores sont reconnaissables par la seule re´fe´rence au syste`me propre de l'oeuvre. Par eux, le monde romanesque est un monde fictif, clos en lui-me^me. Sur le plan die´ge´tique, ils incarnent diverses fonctions actant ielles. Ge´ne´ralement on re´partit ces fonctions en six apre`s Souriau qui explique la situation the´a^trale par les six forces combinatoires. Ce sont le protagoniste, l'antagoniste, l'objet, le destinateur, le destinataire, l'adjuvant. Les personnages assument ces fonctions tour a` tour ou a` la fois. Il y en a ceux qui ne participent pas a` ces re´seaux fonctionnels. En marge sur le plan de l'action romanesque, ils sont employe´s a` diverses ma`nieres, en particulier, a` rendre le monde fictif complexe et a` expliquer les personnages important. Ainsi de´finies la condition existentielle et la fonction du personnage romanesque, l'e´tude du personnage doit e^tre suivi par celle de la manifestation particulie`re du personnage dans un roman.

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