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        프루스트의 두 《序文》과 《註釋》에 관한 고찰

        조종권 釜山大學校 師範大學 1993 교사교육연구 Vol.26 No.-

        Nous avons analyse´ dans cet article les deux 『Pre´faces』 (『John Ruskin』et 『Sur la Lecture』) et le 《Commentaire direct》, notes que Proust, en traduisant en franc¸ais les oeuvres de John Ruskin, a mises au bas de presque chaque page du texte. Marcel Proust fut un grand lecteur, le plus grand depuis Montaigne a`prendre rang dans la litte´rature franc¸aise. Avant de se transfomer en grand romancier, il commence pare^tre un lecteur. Lire, c'est, pour prendre une expression de Proust, 《essayer de recre´er en soi-me^me ce qu'a senti un mai^tre》. L'acte d'e´crire pour lui suppose une de´ouverte pre´alable de la litte´rature, base´e elle-me^me sur l'acte de lire. Quel fut le re´sultat de l'obe´dience intellectuelle a` laquelle Proust se soumit volontairement en se de´clarant disciple du Mai^tre, Ruskin? C'est notre inte´re^t dont il s'agit. Le premier contact de Proust avec l'oeuvre de Ruskin a lieu par la lecture des fragments publie´s dans le 『Bulletin de l'Union pour l'Action morale』 a` Partir de 1893. Prouste´tait abonne´ a` cette revue. Les deux ouvrages les plus remarquables consacre´s a` l'e´crivain anglais de Robert de La Sizeranne, La Peinture anglaise contemporaine(1895) et La Retigion de la Beaute´(1897), a` l'occasion de la traduction de Ruskin, Poust les a pratique´s et cite´s largement. Il semble que Proust ait lu peu apre`s presque tout ce qui avaite´te´traduit en franc¸ais de Ruskin. Enfin, en octobre, 1899, il prit la de´cision de traduire La Bibte d'Amiens comme un te´moignage de sa soumission, volonteire et de´libe´re´e, a` Ruskin. De´sormais pendant six ans, de 1900 a` 1906, depuis surtout qu'il avait renonce´a` Jean Santeuil, Proust s'e´tait consacre´a` cette form de lecture qui est la plus ardue, celle qui demande le plus d'abne´gation: la traduction et l'interpre´tation d'un auteur qu'il admirait. La Bible d'Amiens, premie`re traduction de Ruskin par Proust parut en 1904, pre´ce´de´e d'une pre´face. La majeure partie de la pre´face avaite´te´e ´ crite l'e´te´de 1899 et 1900, et de nombreuses notes en bas de pages furent ajoute´es au printemps 1902. 《Si au cours de cettee´tude,e´crit Proust, j'ai cite´tant de passages de Ruskin tire´s d'autres ouvrages de lui que La Bible d'Amiens en voici la raison. Ne lire qu'un livre d'un auteur, c'est n'avoir avec cet auteur qu'une rencontre. Or, en causant une fois avec une personne, on peut discerner en elle des traits singuliers. Mais c'est seulement par leur re´pe´tition dans des circonstances varie´es qu'on peut les reconnai^tre pour caracte´ristiques et essentiels》 (Pastiches et Me´langes, p.75, Ple´iade). Aussito^t apre`s, il se remit au travail pour traduire un autre livre de Ruskin, Se´same et les Lys, traduction dont la premie`re partie, Les Tre´sors des Rois, parut en 1905 dans Les a de la Vie. L'essai intitule´Sur la Lecture, destine´a` devenir la pre´face de Proust a` sa traduction de Se´same et les Lys parut de`s 1905 dans La Renaissance tatine, avant d'e^tre repris dans Pastiches et a Me´langes sous le titre Joerne´es de Lecture. Proust avait augmente´sa traduction de nombreuses notes, les unes savantes et les autres plus personnelles. Il s'explique ainsi au sujet de la pre´face et des notes: 《Jen'ai essaye´, dans cette pre´face, que de re´fle´chir a` mon tour sur le me^me sujet qu'avait traite´Ruskin dans Les Tre´sors des Rois: l'utilite´de la Lecture. Par l a` ces quelques pages o u ` il n'est gue`re question de Ruskin constituent cependant, si l'on veut, une sorte de critique indirecte de sa doctrine. En exposant mes ide´es, je me trouve involontairement les opposer d'avance aux siennes. Comme commentaire direct, les notes que j'ai mises au bas de presque chaque page du texte de Ruskin suffisaient》. Sur la Lecture est loin de repre´senter l'opinion ordinaire de Proust sur ce qu'est la lecture et la the´orie d'ensemble sur la lecture. Mais c'est un repe`re dans le processus mental qui amena Proust a` se de´barrasser de Ruskin et a` se pre´parer a` remettre son roman en chantier. C'est aussi le texte par lequel il passa des 《traductions des autres》 aux 《traductions de soi》, comme il l'e´crit en 1906 a` Marie Nordlinger: 《J'ai clos a` jamais l'e`re des traductions des autres, que Maman favorisait. Et quant aux traductions de moi-me^me je n'en ai plus le courage》 (Correspondance Ⅵ, P.308). C'est aussi, gr a ^ ce a` la digression de forme narrative qui Iui sert d'introduction, une premie`ree´bauche du sujet, de la me´thode et du style du roman lui-me^me. Sur la Lecture, c'est donc le 《Se´same》 qui ouvre la porte de la 《Recherche》.

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        작가와 화가

        조종권,서명숙 부산대학교 사범대학 1999 교사교육연구 Vol.38 No.-

        Pour une e´tude sur l'affinite´ qui unit l'e´crivain et l'artistre, nous commenc¸ons par souligner que l'e´crivain comme l'artiste ta^che d'exprimer ce qui est cache´ et de transformer l'amorphe en matie`re. En effet, la philoophie de la cre´ation artistique a des liens e´troits avec la source et la nature de l'inspiration d'un certain nombre d'e´crivains. Nous avons donc essaye´ de montrer les influences que les artistes ont exerce´es sur quelques e´crivains, de Montaigne a` Malraux. Dans ses 「Essais」 et 「Journal de voyage」(en Italie), Montaigne a laisse´ pas mal de traces des tableaux italiens et allemands. Stendhal, qui e´trait critique d'art avant de^tre romancier, a puise´ certaines de ses ide´es ches les artistes comme Michel-Ange, Raphae¨l et Titien. Vale´ry, a` la fois amateur de peinture et dessinateur, a e´crit 「La Fileuse」 en sogeant 「Fileuse endormie」 de Courbet. Il en est de me^me pour Baudelaire, Proust, Saint-Exupe´ry et Malraux : ce dernier s'est pre´occupe´, depuis sa jeunesse, des questions artistiques et s'est consacre´ de plus en plus au cours de ses dernie`res anne´es a` des me´ditations esthe´tiques. Ses commentaires sur le caracte`re et la portte´e de son imagination visuelle sont tre`s re´ve´lateurs. Matisse disait: "Le dessin pour moi est la traduction la plus directe, la plus de mes e´motions" Pour l'e´crivain, c'est le livre.

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        프루스트와 샤르뎅

        조종권 釜山大學校 師範大學 1997 교사교육연구 Vol.34 No.-

        Les vrais peintres ont tellement peur de tomber dans la litte´rature qu'ils s'acharnent volontiers a` massacrer les mots, a` s'en de´gou^ter, et, pour arriver plus surement a` ce but, ils ne choisissent que les plus bas. Mais les e´crivains s'acharnent a` trouver les mots dans la peinture et ils en parlent avec les mots. Dans sa petite e´tude, 「Chardin et Rembrandt」(1895), Proust montre comment les grands peintres nous initient a` la connaissance et a` l'amour du monde exte´rieur, comment ils sont ceux par qui nos yeux sont de´clos et ouverts en effet sur le monde. Et il essaye de montrer l'influence sur notre vie, quel charme et quelle sagesse l'oeuvre de Chardin re´pand sur nos plus humbles journe´es en nous initiant a` la vie de la nature morte. Notre e´tude a pour but de conside´rer l'influence des peintures de Chardin sur 『A la recherche du temps perdu』 et d'en de´gager la philosophie de l'art de Marcel Proust.

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        마르셀 프루스트의 언어비평 序說 (Ⅲ)

        조종권 釜山大學校 師範大學 1996 교사교육연구 Vol.33 No.-

        On a essaye´, dans cette e´tude, d'analyser le langage des personnages de Marcel Proust. A la Recherche du Temps perdu nous pre´sente un grand nombre de personnages. Ils acquie`rent toute leur consistance gra^ce a` la vie que l'auteur a su leur donner en leur permettant de s'exprimer directement dans des conversations ou dans des monologues. Chaque personnage de Proust a son propre langage, son intonation et son accent, ce qui re´ve`le au lecteur le groupe social auquel il appartient, son niveau intellectuel, ses pre´juge´s et de´voile plus ou moins clairement sa personnalite´. 〈Les e^tres les plus be^tes, e´crit Proust, par leurs gestes, leurs propos, leurs sentiments involontairement exprime´s, manifestent des lois qu'ils ne perc¸oivent pas, mais que l'artiste surprend en eux〉(Ⅲ. 901). La fonction principale du langage est de permettre la communication aux e^tres. C'est aussi le moyen par lequel ils peuvent projeter une image d'eux-me^mes et acque´rir une identite´. Le lecteur est place´ dans une certaine subjectivite´ de l'e´crivain et ne peut saisir qu'un aspect du he´ros a` la fois, il est limite´ dans son pouvoir de cre´ation. L'activite´ de la litte´rature est essentiellement celle de la lecture litte´raire. Pourtant a` peine en a-t-on convenu qu'on s'interroge: comment "lire"? Proust nous apprend: 〈Les paroles me´connaissables sorties du masque que j'avais sous les yeux, c'e´tait bien a` l'e´crivain que j'admirais qu'il fallait les rapporter, elles n'auraient pas su s'inse´rer dans ses livres a` la fac¸on d'un puzzle qui s'encadre entre d'autres, elles e´taient dans un autre plan et ne´cessitaient une transposition moyennant laquelle, un jour que je me re´pe´tais des phrases que j'avais entendu dire a` Bergotte, j'y retrouvai toute l'armature de son style e´crit, dont je pus reconnai^tre et nommer les diffe´rentes pie`ces dans ce discours parle´ qui m'avait paru si diffe´rent〉(Ⅰ. 552). Il nous reste done la question de distinguer le livre de la voix de l'e´crivain par la parole des personnages.

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        Marcel Proust의 〈A la recherche du temps perdu〉에 나타난 神性과 神聖冒瀆

        趙鍾權 釜山大學校 師範大學 1980 교사교육연구 Vol.7 No.1

        Cette etude a pour but de considerer le sujet de la divinite et de la profanation dans l'oeuvre de Marcel Proust: A la Recherche du Temps perdu. On traite, dans le premier chapitre, le sujet de la divinite et dans le deuxieme, le sujet de la profanation (et y compris 4 articles: (1) a) Narrateur et sa mere. b) narrateur et sa grand' mere. c) narrateur et Albertine. (2) De l'inversion (3) Du sacrilege de Mademoiselle Vinteuil (4) Charlus attache.) Marcel Proust vivait en symbiose avec sa mere et poursuivait l'amour jusqu' a sa mort. L'amour, c'est done un des principaux themes dans son ceuvre. Nous y decouvrons, grace a la delicatesse d'analyse, les souffrances et les chagrins d'un enfant fragile qui veut etre aime et qui cherche successivement un refuge dans la tendresse de sa mere, de sa grand' mere et d'Albertine, et aussi les tourments d'un jeune homme en quete d'un amour absolu. On dit que sa souffrance d'aimer est une symbole de sa conscience tombee de ses remords, ou peut-etre des plaisirs inavouables trouves dans sa profanation elle-meme. Il avait le desire de vivre dans le pays ou 《certaines choses qu' (il voudrait) se realiseraient comms enchantement-et ou les tendresses seraient partagees.》Mais il n'y a jamais le pays ou il desire vivre. Au bout de son recherche, il ne parvient jamais qu' a l'amour martyrise comme Charlus, masohiste attache au lit. Proust ne vivrait pour jamais qu' a l'echec d'un amour.

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