RISS 학술연구정보서비스

검색
다국어 입력

http://chineseinput.net/에서 pinyin(병음)방식으로 중국어를 변환할 수 있습니다.

변환된 중국어를 복사하여 사용하시면 됩니다.

예시)
  • 中文 을 입력하시려면 zhongwen을 입력하시고 space를누르시면됩니다.
  • 北京 을 입력하시려면 beijing을 입력하시고 space를 누르시면 됩니다.
닫기
    인기검색어 순위 펼치기

    RISS 인기검색어

      검색결과 좁혀 보기

      선택해제

      오늘 본 자료

      • 오늘 본 자료가 없습니다.
      더보기
      • 무료
      • 기관 내 무료
      • 유료
      • KCI등재후보

        Affirmer la Résurrection de Jésus-Christ

        H.-J.Gagey 한국가톨릭신학학회 2009 가톨릭신학 Vol.0 No.14

        Cet article esquisse une réflexion systématique sur l’affirmation de la résurrection de Jésus en personne en tant qu’elle réclame le dépassement d’une conception «réifiée» de la Révélation selon laquelle on oppose sans les relier vraiment les faits révélés (la fides quae) et leur appropriation personnelle par les fidèles (la fides qua). Il commence par le rappel de trois principes fondamentaux : 1. Avec la résurrection commence la foi chrétienne qui n’est pas essentiellement adhésion à un code moral ou à un principe théologique abstrait mais confession de l’événement historique de la résurrection du crucifié en lequel le Dieu Père scelle la nouvelle Alliance avec les nations. 2. Selon le Nouveau Testament, jamais la résurrection n’est présentée comme un fait « objectivement » constatable sans la participation de l’homme dans sa foi. Elle est un événement «sans analogie», distinct de tout ce qu’on peut lire comme récits de «réanimation» dans l’Ancien Testament ou dans la littérature religieuse mondiale. Toute recherche de preuve, toute tentative pour rendre vraisemblables nos récits et témoignages doivent donc être exclues. 3. La foi en la résurrection s’évanouit si, à la suite des apôtres qui ont cru voir Jésus vivant, elle ne comporte l’affirmation résolue de l’existence ressuscitée de Jésus en personne. L’article se poursuit par une réflexion épistémologique : si la résurrection est un événement historique accessible seulement à la foi, il faut rompre avec une théorie de la connaissance viciée par l’objectivisme naïf. Sur la base d’une analogie avec les sciences de l’observation, l’article montre alors que, selon le mot de l’apôtre, la foi en la résurrection naît par l’écoute de la parole. Seule en effet la parole ouvre les yeux empêchés de voir la vérité de la Vie telle qu’elle se manifeste dans l a venue, la mort et la résurrection de Jésus. L’article engage alors pour finir un parcours existentiel destiné à faire éprouver au lecteur de quelle nature est la Vérité qui s’expose dans la destinée de Jésus et sur laquelle la foi prend position en affirmant qu’Il est vivant. Cet article esquisse une réflexion systématique sur l’affirmation de la résurrection de Jésus en personne en tant qu’elle réclame le dépassement d’une conception «réifiée» de la Révélation selon laquelle on oppose sans les relier vraiment les faits révélés (la fides quae) et leur appropriation personnelle par les fidèles (la fides qua). Il commence par le rappel de trois principes fondamentaux : 1. Avec la résurrection commence la foi chrétienne qui n’est pas essentiellement adhésion à un code moral ou à un principe théologique abstrait mais confession de l’événement historique de la résurrection du crucifié en lequel le Dieu Père scelle la nouvelle Alliance avec les nations. 2. Selon le Nouveau Testament, jamais la résurrection n’est présentée comme un fait « objectivement » constatable sans la participation de l’homme dans sa foi. Elle est un événement «sans analogie», distinct de tout ce qu’on peut lire comme récits de «réanimation» dans l’Ancien Testament ou dans la littérature religieuse mondiale. Toute recherche de preuve, toute tentative pour rendre vraisemblables nos récits et témoignages doivent donc être exclues. 3. La foi en la résurrection s’évanouit si, à la suite des apôtres qui ont cru voir Jésus vivant, elle ne comporte l’affirmation résolue de l’existence ressuscitée de Jésus en personne. L’article se poursuit par une réflexion épistémologique : si la résurrection est un événement historique accessible seulement à la foi, il faut rompre avec une théorie de la connaissance viciée par l’objectivisme naïf. Sur la base d’une analogie avec les sciences de l’observation, l’article montre alors que, selon le mot de l’apôtre, la foi en la résurrection naît par l’écoute de la parole. Seule en effet la parole ouvre les yeux empêchés de voir la vérité de la Vie telle qu’elle se manifeste dans l a venue, la mort et la résurrection de Jésus. L’article engage alors pour finir un parcours existentiel destiné à faire éprouver au lecteur de quelle nature est la Vérité qui s’expose dans la destinée de Jésus et sur laquelle la foi prend position en affirmant qu’Il est vivant.

      • KCI등재

        Affirmer la Résurrection de Jésus-Christ

        H.-J. Gagey 한국가톨릭신학학회 2009 가톨릭신학 Vol.14 No.-

        Cet article esquisse une réflexion systématique sur l’affirmation de la résurrection de Jésus en personne en tant qu’elle réclame le dépassement d’une conception « réifiée » de la Révélation selon laquelle on oppose sans les relier vraiment les faits révélés (la fides quae) et leur appropriation personnelle par les fidèles (la fides qua). Il commence par le rappel de trois principes fondamentaux : 1. Avec la résurrection commence la foi chrétienne qui n’est pas essentiellement adhésion à un code moral ou à un principe théologique abstrait mais confession de l’événement historique de la résurrection du crucifié en lequel le Dieu Père scelle la nouvelle Alliance avec les nations. 2. Selon le Nouveau Testament, jamais la résurrection n’est présentée comme un fait 《objectivement》 constatable sans la participation de l’homme dans sa foi. Elle est un événement 《sans analogie》, distinct de tout ce qu’on peut lire comme récits de 《réanimation》 dans l’Ancien Testament ou dans la littérature religieuse mondiale. Toute recherche de preuve, toute tentative pour rendre vraisemblables nos récits et témoignages doivent donc être exclues. 3. La foi en la résurrection s’évanouit si, à la suite des apôtres qui ont cru voir Jésus vivant, elle ne comporte l’affirmation résolue de l’existence ressuscitée de Jésus en personne. L’article se poursuit par une réflexion épistémologique : si la résurrection est un événement historique accessible seulement à la foi, il faut rompre avec une théorie de la connaissance viciée par l’objectivisme naïf. Sur la base d’une analogie avec les sciences de l’observation, l’article montre alors que, selon le mot de l’apôtre, la foi en la résurrection naît par l’écoute de la parole. Seule en effet la parole ouvre les yeux empêchés de voir la vérité de la Vie telle qu’elle se manifeste dans l a venue, la mort et la résurrection de Jésus. L’article engage alors pour finir un parcours existentiel destiné à faire éprouver au lecteur de quelle nature est la Vérité qui s’expose dans la destinée de Jésus et sur laquelle la foi prend position en affirmant qu’Il est vivant.

      연관 검색어 추천

      이 검색어로 많이 본 자료

      활용도 높은 자료

      해외이동버튼