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      랭보의 마지막 작품에 대한 최근의 가설과 출판의 관점 = Les théories récentes concernant la dernière oeuvre de Rimbaud et le point de vue éditorial

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      다국어 초록 (Multilingual Abstract)

      Le problème de la dernière œuvre de Rimbaud est très polémique et de nombreuses théories sont développées grâce à la datation graphologique des Illuminations, si l’on excepte les hypothèses interprétatives et tendancieuses. On a cru longtemps qu’Une saison en enfer exprimait l’adieu définitif à la littérature en suivant l’assertion d’Isabelle Rimbaud et de Paterne Berrichon avant la parution de l’étude d’Henry de Bouillane de Lacoste, Rimbaud et le problème des Illuminations en 1949. La contestation de Bouillane de Lacoste a modifié l’ordre des deux dernières œuvres de Rimbaud : les Illuminations doivent suivre Une saison en enfer. L’étude graphologique de Bouillane de Lacoste a démontré que la dernière œuvre de Rimbaud fut les Illuminations. Il a daté les Illuminations de la fin de 1873 ou du début de 1874 à 1875. Mais cette théorie a été niée récemment par l’autre étude graphologique d’André Guyaux, Poétique du fragment en 1985 où il a montré au moins une probabilité de chevauchement dans le cas de Bottom et Crimen amoris par le rapprochement de l’écriture de Rimbaud. Il a daté Bottom, un poème en prose des Illuminations, à l’aide de Crimen amoris de Verlaine que Rimbaud a copié à l’été de 1873. Bottom est la seule preuve matérielle qui prouve le chevauchement d’Une saison en enfer et des Illuminations. Les deux dernières œuvres de Rimbaud permutent comme un jeu de saute-mouton. Encore plus récemment Steve Murphy a réfuté en 2000 la théorie du chevauchement possible en datant Bottom après Une saison en enfer. La théorie de Steve Murphy a donné raison à l’ancienne théorie de Bouillane de Lacoste selon laquelle le f minuscule et bouclé est une indice diachronique et indéniable de l’écriture qui distingue toutes les Illuminations de tous les manuscrits entre 1870 et 1873. La position dernière des Illuminations est rétablie par l’étude de Steve Murphy. Mais nous pensons que la récente théorie de la dernière œuvre de Rimbaud ne résout pas l’essentiel du problème rimbaldien lié à la dernière œuvre. La datation de la dernière œuvre de Rimbaud ne nous paraît pas être un simple problème philologique mais celui de l’explication de la fin littéraire et de l’évolution poétique.
      La dernière œuvre de Rimbaud doit être incontestablement les Illuminations. Cela est évident surtout du point de vue éditorial qu’a suggéré Steve Murphy. Parce que Rimbaud a copié la plupart des Illuminations et pensé à préparer la publication en 1875 en demandant à Verlaine de les envoyer à Germain Nouveau. Si la plupart des Illuminations sont des copies postérieures à Une saison en enfer il est logique que toute approche des Illuminations commence par ce statut de dernière œuvre du point de vue éditorial. Adieu ne peut pas être considéré comme le dernier acte littéraire de Rimbaud.
      On ne peut nier en rien la position dernière des Illuminations, mais cela ne veut pas dire que les Illuminations révèlent la fin littéraire de Rimbaud, son renoncement à la poésie. L’interprétation des Illuminations ne se limite pas au temps de leur transposition ; le temps d’Une saison en enfer ne semble pas également être lié au moment de la rédaction entre avril et août 1873. On ne peut pas préciser leurs dates de création. L’évolution poétique de Rimbaud ne peut pas être éclaircie par le recours à la datation des deux dernières œuvres. On peut même rapprocher des Illuminations les poèmes de 1871, ceux de 1872, ou bien Une saison en enfer. Si on admet que les Illuminations ont été écrites ou copiés après Une saison en enfer cela ne veut pas dire que leurs sujets soient forcément liés à l’expérience de l’auteur après Une saison en enfer. L’examen des théories récentes sur la dernière œuvre de Rimbaud nous permet de lire l’œuvre telle qu’elle est, du mythe au texte sans se base...
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      Le problème de la dernière œuvre de Rimbaud est très polémique et de nombreuses théories sont développées grâce à la datation graphologique des Illuminations, si l’on excepte les hypothèses interprétatives et tendancieuses. On a cru long...

      Le problème de la dernière œuvre de Rimbaud est très polémique et de nombreuses théories sont développées grâce à la datation graphologique des Illuminations, si l’on excepte les hypothèses interprétatives et tendancieuses. On a cru longtemps qu’Une saison en enfer exprimait l’adieu définitif à la littérature en suivant l’assertion d’Isabelle Rimbaud et de Paterne Berrichon avant la parution de l’étude d’Henry de Bouillane de Lacoste, Rimbaud et le problème des Illuminations en 1949. La contestation de Bouillane de Lacoste a modifié l’ordre des deux dernières œuvres de Rimbaud : les Illuminations doivent suivre Une saison en enfer. L’étude graphologique de Bouillane de Lacoste a démontré que la dernière œuvre de Rimbaud fut les Illuminations. Il a daté les Illuminations de la fin de 1873 ou du début de 1874 à 1875. Mais cette théorie a été niée récemment par l’autre étude graphologique d’André Guyaux, Poétique du fragment en 1985 où il a montré au moins une probabilité de chevauchement dans le cas de Bottom et Crimen amoris par le rapprochement de l’écriture de Rimbaud. Il a daté Bottom, un poème en prose des Illuminations, à l’aide de Crimen amoris de Verlaine que Rimbaud a copié à l’été de 1873. Bottom est la seule preuve matérielle qui prouve le chevauchement d’Une saison en enfer et des Illuminations. Les deux dernières œuvres de Rimbaud permutent comme un jeu de saute-mouton. Encore plus récemment Steve Murphy a réfuté en 2000 la théorie du chevauchement possible en datant Bottom après Une saison en enfer. La théorie de Steve Murphy a donné raison à l’ancienne théorie de Bouillane de Lacoste selon laquelle le f minuscule et bouclé est une indice diachronique et indéniable de l’écriture qui distingue toutes les Illuminations de tous les manuscrits entre 1870 et 1873. La position dernière des Illuminations est rétablie par l’étude de Steve Murphy. Mais nous pensons que la récente théorie de la dernière œuvre de Rimbaud ne résout pas l’essentiel du problème rimbaldien lié à la dernière œuvre. La datation de la dernière œuvre de Rimbaud ne nous paraît pas être un simple problème philologique mais celui de l’explication de la fin littéraire et de l’évolution poétique.
      La dernière œuvre de Rimbaud doit être incontestablement les Illuminations. Cela est évident surtout du point de vue éditorial qu’a suggéré Steve Murphy. Parce que Rimbaud a copié la plupart des Illuminations et pensé à préparer la publication en 1875 en demandant à Verlaine de les envoyer à Germain Nouveau. Si la plupart des Illuminations sont des copies postérieures à Une saison en enfer il est logique que toute approche des Illuminations commence par ce statut de dernière œuvre du point de vue éditorial. Adieu ne peut pas être considéré comme le dernier acte littéraire de Rimbaud.
      On ne peut nier en rien la position dernière des Illuminations, mais cela ne veut pas dire que les Illuminations révèlent la fin littéraire de Rimbaud, son renoncement à la poésie. L’interprétation des Illuminations ne se limite pas au temps de leur transposition ; le temps d’Une saison en enfer ne semble pas également être lié au moment de la rédaction entre avril et août 1873. On ne peut pas préciser leurs dates de création. L’évolution poétique de Rimbaud ne peut pas être éclaircie par le recours à la datation des deux dernières œuvres. On peut même rapprocher des Illuminations les poèmes de 1871, ceux de 1872, ou bien Une saison en enfer. Si on admet que les Illuminations ont été écrites ou copiés après Une saison en enfer cela ne veut pas dire que leurs sujets soient forcément liés à l’expérience de l’auteur après Une saison en enfer. L’examen des théories récentes sur la dernière œuvre de Rimbaud nous permet de lire l’œuvre telle qu’elle est, du mythe au texte sans se base...

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      Le problème de la dernière œuvre de Rimbaud est très polémique et de nombreuses théories sont développées grâce à la datation graphologique des Illuminations, si l’on excepte les hypothèses interprétatives et tendancieuses. On a cru longtemps qu’Une saison en enfer exprimait l’adieu définitif à la littérature en suivant l’assertion d’Isabelle Rimbaud et de Paterne Berrichon avant la parution de l’étude d’Henry de Bouillane de Lacoste, Rimbaud et le problème des Illuminations en 1949. La contestation de Bouillane de Lacoste a modifié l’ordre des deux dernières œuvres de Rimbaud : les Illuminations doivent suivre Une saison en enfer. L’étude graphologique de Bouillane de Lacoste a démontré que la dernière œuvre de Rimbaud fut les Illuminations. Il a daté les Illuminations de la fin de 1873 ou du début de 1874 à 1875. Mais cette théorie a été niée récemment par l’autre étude graphologique d’André Guyaux, Poétique du fragment en 1985 où il a montré au moins une probabilité de chevauchement dans le cas de Bottom et Crimen amoris par le rapprochement de l’écriture de Rimbaud. Il a daté Bottom, un poème en prose des Illuminations, à l’aide de Crimen amoris de Verlaine que Rimbaud a copié à l’été de 1873. Bottom est la seule preuve matérielle qui prouve le chevauchement d’Une saison en enfer et des Illuminations. Les deux dernières œuvres de Rimbaud permutent comme un jeu de saute-mouton. Encore plus récemment Steve Murphy a réfuté en 2000 la théorie du chevauchement possible en datant Bottom après Une saison en enfer. La théorie de Steve Murphy a donné raison à l’ancienne théorie de Bouillane de Lacoste selon laquelle le f minuscule et bouclé est une indice diachronique et indéniable de l’écriture qui distingue toutes les Illuminations de tous les manuscrits entre 1870 et 1873. La position dernière des Illuminations est rétablie par l’étude de Steve Murphy. Mais nous pensons que la récente théorie de la dernière œuvre de Rimbaud ne résout pas l’essentiel du problème rimbaldien lié à la dernière œuvre. La datation de la dernière œuvre de Rimbaud ne nous paraît pas être un simple problème philologique mais celui de l’explication de la fin littéraire et de l’évolution poétique.
      La dernière œuvre de Rimbaud doit être incontestablement les Illuminations. Cela est évident surtout du point de vue éditorial qu’a suggéré Steve Murphy. Parce que Rimbaud a copié la plupart des Illuminations et pensé à préparer la publication en 1875 en demandant à Verlaine de les envoyer à Germain Nouveau. Si la plupart des Illuminations sont des copies postérieures à Une saison en enfer il est logique que toute approche des Illuminations commence par ce statut de dernière œuvre du point de vue éditorial. Adieu ne peut pas être considéré comme le dernier acte littéraire de Rimbaud.
      On ne peut nier en rien la position dernière des Illuminations, mais cela ne veut pas dire que les Illuminations révèlent la fin littéraire de Rimbaud, son renoncement à la poésie. L’interprétation des Illuminations ne se limite pas au temps de leur transposition ; le temps d’Une saison en enfer ne semble pas également être lié au moment de la rédaction entre avril et août 1873. On ne peut pas préciser leurs dates de création. L’évolution poétique de Rimbaud ne peut pas être éclaircie par le recours à la datation des deux dernières œuvres. On peut même rapprocher des Illuminations les poèmes de 1871, ceux de 1872, ou bien Une saison en enfer. Si on admet que les Illuminations ont été écrites ou copiés après Une saison en enfer cela ne veut pas dire que leurs sujets soient forcément liés à l’expérience de l’auteur après Une saison en enfer. L’examen des théories récentes sur la dernière œuvre de Rimbaud nous permet de lire l’œuvre telle qu’elle est, du mythe au texte sans se baser ...
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      Le problème de la dernière œuvre de Rimbaud est très polémique et de nombreuses théories sont développées grâce à la datation graphologique des Illuminations, si l’on excepte les hypothèses interprétatives et tendancieuses. On a cru longtemps qu’Une saison en enfer exprimait l’adieu définitif à la littérature en suivant l’assertion d’Isabelle Rimbaud et de Paterne Berrichon avant la parution de l’étude d’Henry de Bouillane de Lacoste, Rimbaud et le problème des Illuminations en 1949. La contestation de Bouillane de Lacoste a modifié l’ordre des deux dernières œuvres de Rimbaud : les Illuminations doivent suivre Une saison en enfer. L’étude graphologique de Bouillane de Lacoste a démontré que la dernière œuvre de Rimbaud fut les Illuminations. Il a daté les Illuminations de la fin de 1873 ou du début de 1874 à 1875. Mais cette théorie a été niée récemment par l’autre étude graphologique d’André Guyaux, Poétique du fragment en 1985 où il a montré au moins une probabilité de chevauchement dans le cas de Bottom et Crimen amoris par le rapprochement de l’écriture de Rimbaud. Il a daté Bottom, un poème en prose des Illuminations, à l’aide de Crimen amoris de Verlaine que Rimbaud a copié à l’été de 1873. Bottom est la seule preuve matérielle qui prouve le chevauchement d’Une saison en enfer et des Illuminations. Les deux dernières œuvres de Rimbaud permutent comme un jeu de saute-mouton. Encore plus récemment Steve Murphy a réfuté en 2000 la théorie du chevauchement possible en datant Bottom après Une saison en enfer. La théorie de Steve Murphy a donné raison à l’ancienne théorie de Bouillane de Lacoste selon laquelle le f minuscule et bouclé est une indice diachronique et indéniable de l’écriture qui distingue toutes les Illuminations de tous les manuscrits entre 1870 et 1873. La position dernière des Illuminations est rétablie par l’étude de Steve Murphy. Mais nous pensons que la récente théorie de la dernière œuvre de Rimbaud ne résout pas l’essentiel du problème rimbaldien lié à la dernière œuvre. La datation de la dernière œuvre de Rimbaud ne nous paraît pas être un simple problème philologique mais celui de l’explication de la fin littéraire et de l’évolution poétique.
      La dernière œuvre de Rimbaud doit être incontestablement les Illuminations. Cela est évident surtout du point de vue éditorial qu’a suggéré Steve Murphy. Parce que Rimbaud a copié la plupart des Illuminations et pensé à préparer la publication en 1875 en demandant à Verlaine de les envoyer à Germain Nouveau. Si la plupart des Illuminations sont des copies postérieures à Une saison en enfer il est logique que toute approche des Illuminations commence par ce statut de dernière œuvre du point de vue éditorial. Adieu ne peut pas être considéré comme le dernier acte littéraire de Rimbaud.
      On ne peut nier en rien la position dernière des Illuminations, mais cela ne veut pas dire que les Illuminations révèlent la fin littéraire de Rimbaud, son renoncement à la poésie. L’interprétation des Illuminations ne se limite pas au temps de leur transposition ; le temps d’Une saison en enfer ne semble pas également être lié au moment de la rédaction entre avril et août 1873. On ne peut pas préciser leurs dates de création. L’évolution poétique de Rimbaud ne peut pas être éclaircie par le recours à la datation des deux dernières œuvres. On peut même rapprocher des Illuminations les poèmes de 1871, ceux de 1872, ou bien Une saison en enfer. Si on admet que les Illuminations ont été écrites ou copiés après Une saison en enfer cela ne veut pas dire que leurs sujets soient forcément liés à l’expérience de l’auteur après Une saison en enfer. L’examen des théories récentes sur la dernière œuvre de Rimbaud nous permet de lire l’œuvre telle qu’elle est, du mythe au texte sans se baser ...

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      참고문헌 (Reference)

      1 신옥근, "랭보의 「바겐세일Solde」 해석과 「일뤼미나시옹Illuminations」 문제" 한국프랑스학회 68 : 247-270, 2009

      2 신옥근, "랭보시의 ‘침묵의 번역’에 대한 번역 문제: 「영원」 L'Eternité의 예" 외국문학연구소 (32) : 143-172, 2008

      3 오경희, "『지옥에서 보낸 한 철』과 『일뤼미나시옹』의 연속성에 관한 고찰" 고려대학교 2001

      4 REBOUL Yves, "«Les problèmes rimbaldiens et le témoignage d'Isabelle Rimbaud (I/II)», La Revue des lettres modernes. A. Rimbaud I (n° 323-326), Minard, 1972, A. Rimbaud 3 (n° 445-449)"

      5 RIMBAUD Arthur, "par Suzanne Bernard et André Guyaux, Garnier Frères, nouv. éd" et revue 1983-, 1960

      6 RIMBAUD Arthur, "par Antoine Adam" Gallimard 1972

      7 RIMBAUD Arthur, "par André Guyaux avec la collaboration d'Aurélia Cervoni" Gallimard 2009

      8 RIMBAUD Arthur, "Vers et prose, par Paterne Berrichon" Mercure de France, rééd 1945-, 1912

      9 BIVORT Olivier et Steve Murphy, "Rimbaud publications autour d'un centenaire, supplemento al n. 113 di Studi Francesi, maggio- agosto 1994" Rosenberg & Sellier 1994

      10 BONNEFOY Yves, "Rimbaud par lui-mê̂me" Seuil 1961

      1 신옥근, "랭보의 「바겐세일Solde」 해석과 「일뤼미나시옹Illuminations」 문제" 한국프랑스학회 68 : 247-270, 2009

      2 신옥근, "랭보시의 ‘침묵의 번역’에 대한 번역 문제: 「영원」 L'Eternité의 예" 외국문학연구소 (32) : 143-172, 2008

      3 오경희, "『지옥에서 보낸 한 철』과 『일뤼미나시옹』의 연속성에 관한 고찰" 고려대학교 2001

      4 REBOUL Yves, "«Les problèmes rimbaldiens et le témoignage d'Isabelle Rimbaud (I/II)», La Revue des lettres modernes. A. Rimbaud I (n° 323-326), Minard, 1972, A. Rimbaud 3 (n° 445-449)"

      5 RIMBAUD Arthur, "par Suzanne Bernard et André Guyaux, Garnier Frères, nouv. éd" et revue 1983-, 1960

      6 RIMBAUD Arthur, "par Antoine Adam" Gallimard 1972

      7 RIMBAUD Arthur, "par André Guyaux avec la collaboration d'Aurélia Cervoni" Gallimard 2009

      8 RIMBAUD Arthur, "Vers et prose, par Paterne Berrichon" Mercure de France, rééd 1945-, 1912

      9 BIVORT Olivier et Steve Murphy, "Rimbaud publications autour d'un centenaire, supplemento al n. 113 di Studi Francesi, maggio- agosto 1994" Rosenberg & Sellier 1994

      10 BONNEFOY Yves, "Rimbaud par lui-mê̂me" Seuil 1961

      11 BOUILLANE DE LACOSTE Henry de, "Rimbaud et le problème des Illuminations" Mercure de France 1949

      12 GUYAUX André, "Poétique du fragment. Essai sur les Illuminations de Rimbaud" Neuchâ̂tel, La Bacconière 1985

      13 RIMBAUD Arthur, "Poésies, prose et correspondance, par Pierre Brunel" Librairie Générale Française 1999

      14 VERLAINE Paul, "OEuvres en prose complètes, par Jacques Borel" Gallimard 1972

      15 MURPHY Steve, "Les Illuminations manuscrites" Histoires littéraires 2000

      16 ETIEMBLE René, "Le Mythe de Rimbaud, Genèse du mythe 1869-1949" Gallimard 1968

      17 BLANCHOT Maurice, "L'Entretien infini" Gallimard 1969

      18 RUCHON François, "Jean-Arthur Rimbaud, savie, son œuvre, son influence" Honoré Champion 1929

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      2018-01-01 평가 등재학술지 유지 (등재유지) KCI등재
      2015-01-01 평가 등재학술지 유지 (등재유지) KCI등재
      2011-01-01 평가 등재학술지 유지 (등재유지) KCI등재
      2009-01-01 평가 등재학술지 유지 (등재유지) KCI등재
      2007-01-01 평가 등재학술지 유지 (등재유지) KCI등재
      2004-01-01 평가 등재학술지 선정 (등재후보2차) KCI등재
      2003-01-01 평가 등재후보 1차 PASS (등재후보1차) KCI등재후보
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      기준연도 WOS-KCI 통합IF(2년) KCIF(2년) KCIF(3년)
      2016 0.21 0.21 0.22
      KCIF(4년) KCIF(5년) 중심성지수(3년) 즉시성지수
      0.21 0.2 0.404 0.18
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