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        앙드레 말로의 『정복자』에서 부조리와 노장철학에 대한 고찰

        김웅권(Woong Kwon KIM) 프랑스학회 2016 프랑스학연구 Vol.76 No.-

        Cette étude présuppose la vision taoïste de Garine, le héros du roman. Nous avons dégagé cette vision dans un autre article à travers une poétique symboliste que nous y avons mise en lumière, poétique permettant d'encoder le monde spirituel de Garine. Il est donc bien logique que l'absurde, thème important dans le roman, profondément gravé dans la conscience de celui-ci, soit interprété sous l'angle de la philosophie taoïste. Les suggestions de cette poétique, disposées autour des discours du héros où l'absurde apparaît, nous conduisent à lire ce thème selon deux dimensions : l'une sociale et l'autre ontologique. D'abord, l'absurde, lié initialement au procès de Garine par rapport à son affaire d'avortement, s'élargit à la société tout entière. Il provient du désaccord entre celle-ci et sa vision taoïste qui nie tout l'ordre social humain, artificiel et antinaturel. Ensuite, il représente le caractère transcendantal du principe du Tao, inaccesible par la raison, et qui préside à la réciprocité ontologique de l'être et le néant que Garine exprime en termes de "vianité essentielle qui l'exalte". Il connote que la philosophie taoïte est un agnostisme absolu, affirmé par Tchouang-tseu. Sartre ou Camus traitent le thème de l'absurde sur une dimension existentielle sans se référer à une pensée passée pour s'y interroger. Différemment d'eux, Malraux le développe dans Les Conquérants selon le taoïsme qu'il médite dans sa voie d'interrogation sur l'homme. Sa méditation littéraire sur cette philosophie chinoise répond à la nécessité de créer un nouvel homme exmplaire qui puisse supporter notre civilisation, unifiée sur le plan planétaire pour la première fois dans l'histoire de l'humanité: il qualifie d'"agnostique" cette civilisation précaire sans "valeur ordonnatrice".

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        앙드레 말로의 『알튼부르그의 호도나무』에 나타난 이야기의 불연속성과 근원의 신화

        김웅권 ( Woong Kwon Kim ) 한국불어불문학회 1997 불어불문학연구 Vol.35 No.1

        Les Noyers de l`Altenburg s`articulent sur une discontinuite´ du re´cit compose´ de plusieurs histoires inde´pendantes encha^sse´es les unes dans les autres, que de´veloppent les trois ge´ne´rations de la famille de Vincent Berger. Cette discontinuite´, rythme´e par deux mouvements, l`un ascendant et l`autre descendant, est e´troitement lie´e au sujet du roman, a` savoir a` la que^te de l`homme fondamental. Elle incarne dans le mouvement ascendant une vision anti-he´ge´lienne de l`histoire et de l`homme. Dans le mouvement descendant, elle en mate´rialise une vision anti-spengle´rienne, une vision de me´tamorphose. L`homme fondamental que Vincent et son fits, le narrateur de´couvrent construisant cette vision contre Spengler s`immortalise dans un mythe d`origine re´actualise´ par un couple paysan et le paysage de ferme e´blouissant qu`il a cre´e´. A l`oppose´ du processus de l`effondrement de la vieille culture d`Occident, la cre´ation d`une nouvelle culture s`ouvre a` partir de la ge´ne´ration de ce couple qui, en tant que prototype de l`homme fondamental, se me´tamorphose dans deux autres ge´ne´rations qui lui succe`dent. Cet e^tre permanent, l`auteur l`identifie avec l`homme gothique dont il pense qu`il englobe l`homme mythologique de la Gre`ce antique. Il concc¿oit cette a^me gothique comme e^tre ide´al qui, libe´re´ du destin, re´alise pleinement sa volonte´ de s`e´panouir ici et maintenant dans la possibilie´ infinie de me´tamorphose. Malraux, face a` la crise d`Occident, trouve dans le roman l`a^me gothique comme fondement spirituel de reconstruction de l`Europe. En me^me temps, il termine, tout en conque´rant les deux cultures grecque et chre´tienne, son itine´raire romanesque d`interrogation, oriente´ vers le de´passement de la civilisation du sie`cle qu`il qualified`agnostique.

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        앙드레 말로의 『희망 L' Espoir』에 나타난 시간관

        김웅권 ( Woong Kwon Kim ) 한국불어불문학회 1997 불어불문학연구 Vol.34 No.1

        Diffe´remment des e´tudes qui sont faites jusqu`a` pre´sent, soit sous l`angle existentiel, soit sous l`angle marxiste, notre approche se trouve dans la perspective de la critique de la conscience, c`est-a`-dire dans celle de la vision interrogative qua Malraux a construite de la conque^te et de la me´tamorphose de l`he´ritage culturel. Dans L`Espoir, la culture qu`il tente de conque´rir et de me´tamorphoser, tout en s`y interrogeant, c`est la culture chre´tienne. En conse´quence, nous allons examiner notre sujet dans le cadre des ide´es temporelles et historiques du christianisme. Nous de´couvrons quelques indications importantes qui nous permettent d`interpre´ter de notre point de vue la vision du temps dans le roman : le peuple qui est le ve´ritable he´ros de l`oeuvre est catholique; l`espace de l`Espagne jouant le ro^le du de´cor qui, dans les romans de Malraux, est un e´le´ment conside´rable participant a` la production de leur sens est un espace particulier qui incarne la culture chre´tienne; le mai^tre a` la fois militaire et spirituel du personnage central de Manual repre´sentant le peuple et dont le nom signifie d`allieurs sugge`stivement Dieu parmi nous est Xime´ne`s qui est un de´vot catholique; est chre´tienne l`interpre´tation intuitive et perspicace qua Alvear pre´sente de la re´volution en comparant celle-ci a` la vie e´temelle du moyen a^ge; les communistes ide´als et les catholiques se rapprochent dans leurs discours; le titre de la deuxie`me section du roman, intitule´ exercice de l`apocalypse rappelle par le mot apocalypse directement La Bible. Vues sur ce fondement, les images varie´es de l`eternite´ mate´rialise´e par le cosmos s`ordonnent autour d`une des philosophies temporelles du christianisme, qui met l`accent sur la non-intervention ge´ne´rale de la Divinite´ supre^me dans le de´roulement de l`histoire de l`humanite´, sauf dans des cas exceptionels ou` la volonte´ de Dieu s`ope`re. Mais le moment de l`intervention divine transcendant la connaissance de l`homme, ce qui re`gne dans le monde, c`est l`indiffe´rence de Dieu et du cosmos e´ternel aux affires humaines. Telle est la vision repre´sente´e par Xime´ne`s. Le temps cosmique cyclique impose ainsi a` quelques personnages le sentiment de vanite´ de la vie et des efforts humains, qui provient de la chute. Cet aspect est particulie`rement remarquable surtout dans la deuxie`me section de la premie`re partie, ou` la re´volution reve^tue d`une dimension mythique n`avance pas du tout vers l`avenir. Les e´ve´nements historiques et les images plastiques du passe´, largement pre´sents dans le roman, sont exploite´s pour pousser le combat collectif vers un avenir de salut. Ils s`inscrivent dans la vision chre´tienne selon laquelle l`homme doit frayer tout seul son chemin de salut luttant contre son destin. Leur point de convergence est le fondamental que l`a^me gothique incarne dans sa re´actualisation de la vie e´temelle. La plus imposante image du passe´, c`est la Passion du Christ qui se rapproche de la sce`ne de la mort d`Hemandez. Le pre´sent historique jalonne´ par un certain nombre de repe`res temporels suivant le rythme temaire que fait voir le composition structurale du roman est e´troitement lie´ a` l`avancement fluctuant de la re´volution. Comme vecteur createur de progre`s, entrai^nant celle-ci a` la cre´ation de l`arme´e re´publicaine, il reproduit le processus tridimensionnel de l`organisation de l`Eglise catholique autour de l`ave`nement du Christ. Il ressuscite en me^me temps la purete´ de l`esprit du christianisme primitif, ouvrant un horizon d`avenir ou` le destin s`efface avec une fin de l`histoire. En plus, il re´actualise indirectement le temps biblique rythme´ par le triple mouvement: la Cre´ation(la chute), la Passion du Christ(le rachat) et le Jugement dernier(la vie e´ternelle). L`avenir, imagine´ par le personnage cent

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        앙드레 말로의 『인간의 조건』에서의 광인

        김웅권 ( Woong Kwon Kim ) 한국불어불문학회 1995 불어불문학연구 Vol.30 No.1

        L`essentiel de la vision de Kyo et de Tchen Dans La Condition humaine est la soif d`absolu. Dans le cas de Kyo celle-ci se manifeste dans des expressions comme une espe`ce d`affirmation absolue de fou, une intensite´ plus grande que tout le reste, ce monstre incomparable. Le terme de fou est la clef de la compre´hension du carate`re de l`absolu dont le personnage central est en que^te. Il ne signifie pas naturellement l`animal comme e^tre de´chu, oppose´ a` l`homme classique comme e^tre raisonnable. Malraux nous donne dans Lazare des indications tre`s importantes a` propos de sa signification, tout en se rappelant la sce`ne du roman ou` le personnage ne reconnai^t pas sa voix enregistre´e. D`apre`s lui, le fou de Kyo signifie la conscience la plus informe et la plus intense, la convulsive `Je suis`. Certes, cette conscience implique l`exigence de l`illimite´. Mais Malraux ne s`arre^te pas la`, il se re´fe`re plusieurs fois a` la pense´e bouddhique pour s`interroger sur l`i dentite´ d`une telle conscience impersonnelle. Il assimile celle-ci a` un je-sans moi, dont l`e´tat sans pense´e se re´ve`le comme la paix de l`abi^me`. En conse´quence, le fou de Kyo est cette conscience bouddhique la plus profonde en tant affirmation ve´he´mente d`unje qui re´clame l`illimite´. Cette vision bouddhique vient du bouddhisme zen sur lequel est fonde´e la voie du samourai¨ qui est aussi celle du personnage. La sce`ne finale ou disparai^t Kyo est soigneusement de´crite en accord avec elle. Quant au personnage de Tchen, le fou apparai^t dans la finalite´ qu`il veut atteindre a` travers son terrorisme mystique. Mais le terroriste dit a` Kyo qu`il n`y a pas de mot, me^me en chinois, qui convient a` cette finalite´, c`est-a`-dire a` la ve´rite´ de son absolu. Elle est ainsi exprime´e comme un apaisement total dans un extase vers le bas. A nos yeux, Ces paroles sont employe´es pour de´signer un e´tat particulier semblable au nirvana. En fait, il n`y a pas de terme chinois e´quivalent a` ce dernier. Le mot sanscrit signifie litte´ralement extinction du moi conside´re´ comme irre´el et connote apaisement supre^me. Il en re´sulte que l`absolu du personnage est aussi la conscience bouddhique fondamentale et impersonnelle en tant que je-sans-moi ; il est le me^me fou que Kyo veut rejoindre au dernier moment de sa vie. Cette rapprochement de la re´alite´ finale concue par Tchen et du nirvana, a` savoir du fou n`est pas du tout arbitraire puisque nous trouvons des indications dans le roman, qui le soutiennent incontestablement. Le paysage inte´rieur du Chinois lors des deux attentats qu`il tente montre bien sa vision bouddhique e´labore´e depuis son premier meurtre. Il met en relief l`irre´alite´, la fludite´ et l`instantane´ite´ de l`e^tre temporel. La sce`ne finale de Tchen, comme celle de Kyo, sugge`re ce fou qui se de´tache du moi mourant dont`il te´moigne. En Somme, le point ultime auquel Tchen veut parvenir dans sa voie de la ve´rite´ est le point ou` se rejoignent le fou et l`univers. Le fou est le noyau de la vision de Kyo et de Tchen. Son champ est un espace d`absolu ou` ils se recontrent. D`ou leur communication invisible. Chacun d`eux passe, selon sa propre condition humaine, du moi au fou, de l`Illusion a` la Re´alite´. Le fou est ne´ de la tentative originale de Malraux pour conque´rir la culture bouddhique. Cette conque^te se place dans l`itine´raire d`interrogation intellectuelle afin de surmonter la civilisation du 20e` sie`cle qu`il qualifie d`agnostique et d`ouvrir un nouvel horizon spirituel.

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        앙드레 말로의 『인간의 조건』 : 노장 철학에 따른 해체적 독서 II

        김웅권(KIM, Woong-Kwon) 프랑스학회 2008 프랑스학연구 Vol.46 No.-

        Cette étude a pour l'objet de compléter notre recherche précédente sur La Condition humaine, recherche centrée sur la vision de Clappique, qui est fondée sur la philosophie taoïste. Parmi les trois principaux personnages - Clappique, Ferral et Gisors - du roman, indirectement liés à la révolution, dont nous supposons qu'ils établissent tous leur vision sur cette philosophie, nous considérerons le monde des deux derniers à partir d'“une poétique symboliste” que nous avons dégagée ailleurs dans les romans de Malraux. En effet, cette poétique a pour fonction d'encoder complètement chaque oeuvre comme une énigme à déchiffrer. Nous aboutirons ainsi à prouver que la création de ces trois personnages est “la conquête”, “la résurréction”, “la métamorphose” et “l'interrogation” de cette pensée hinoise, selon la vision malrucienne de l'art. En tant qu'un des dispositifs de ladite poétique, la discontinuité, soigneusement distribuée pour inviter le lecteur à participer à la creation d'un sens du roman, est bien présente dans des discours concernant Ferral et Gisors. Ces discours, fragmentés et encodés, détiennent la vérité métaphysique de ces personnages. Mais ils ne peuvent étre décryptés qu'à l'aide des autres techniques de la poétique. On trouve ainsi des suggestions/évocations qui indiquent les connaissances assez larges de Ferral par rapport à la culture chinoise. Ce qui est pourtant determinant dans l'interprétation de sa vision, c'est son érotisme se rapprochant de celui de Perken de La Voie royale, que nous avons mis en évidence sous l'éclairage du tantrisme bouddhique. Or, le noyau de ces deux érotismes est englobé dans l'idée chinoise qu'exprime globalement et abstraitement Ling au sujet de l'union sexuel dans La Tentation de l'Occident. Mais il est impossible que le jeu érotique de Ferral soit abordé au travers de ce mysticisme tantrique, lié au bouddhisme prêchant la compassion. Car il contient l'humiliation de l'autre et méprise sévèrement son moi. Il ne peut donc être analysé que d'après la pénsée taoïste sur la sexualité, don’t l'origine est la philosophie taoïste, esentiellement “inhumaine” et impitoyable. Quant à la vision de Gisors, l'orientation générale de son approche est bien suggérée par des précisions qu'il donne de ses relations avec la civilization chinoise. Mais l'attitude froide qu'il garde dans son for intérieur envers les hommes ne permet d'éclairer cette vision ni par le bouddhisme ni par le confucianisme. Il nous reste la philosophie taoïste. En outre, les deux personnages, refusant le dualisme occidental et son système dichotimique des valeurs, partagent une idée qu' “il n'y a pas de réel”, ce qui est solidement soutenu par deux symboles, la nuit et la brume qui sont aussi utilisées pour symboliser la vision bouddhique des trois révolutionnaires : Tchen, Kyo et Katow. Dans cette perspective, Ferral passe de son érotisme à sa tentative de posséder la totalité des illusions, en déconstruisant selon la philosophie taoïste, la métaphysique d'Occident qui, excluant l'autre, met l'accent sur le moi lié à l'identité personnelle, et dont le dualisme ne rend pas possible un jeu de dépassement des conflits polaires. En tant que joueur, il poursuit avec intensité et détachement à la fois, par delà le bien et le mal, sa “volon

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